○ Dates importantes FEQ 2015.
infofestival: http://www.infofestival.com/
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• Reportage Brandon Santini, festival d’été le 13 juillet 2014.

J’aime beaucoup le blues de Brandon Santini, le son bien rond de son harmonica, ses compositions harmonieuses et sa superbe voix juste et mélodieuse qui a un feutré dans les basses tout à fait charmeur. Il venait nous présenter son album This Time Another Year qui était en nomination pour l’album blues contemporain aux Blues Music Awards 2014. Santini y était lui-même en nomination pour l’harmoniciste de l’année. Il est aussi dans la course pour une récompense du Blues Blast magazine dans la catégorie Sean Costello Rising Star Award. Nous avons entendu les excellentes chansons de cet album qui comprend 8 compositions originales dont deux sont écrites en collaboration avec Victor Wainwright qui joue aussi du piano sur quelques morceaux de l’album. Jeff Jensen à la guitare et Bill Ruffino à la basse ont aussi collaboré à la composition de certains titres.
Le spectacle a été sous le signe de l’énergie blues, la foule était très enthousiaste et plusieurs ovations debout ont souligné les solos de Santini et de son guitariste Timo Arthur. Arthur est un excellent guitariste qui a fait de nombreuses envolées passionnantes. La liste comprenait des titres tels que les très belles She’s Sweet as Honey et Evil Woman tirés de Songs of Love, Money, and Misery, le premier album de Santini et quelques interprétations en plus des chansons de This Time Another Year. Been So Blue, Dig me a Grave, What You Doing To Me, Bye Bye Bird ont été parmi mes préférées, nous avons aussi chanté sur l’entrainante Help Me With The Blues.
C’est sur cette belle soirée que s’est terminé mon festival d’été. Encore bravo à Michel Rochette et à toute l’équipe du Petit Impérial pour les intenses moments de la série blues du Festival d’été de cette année et dont la popularité ne se dément pas depuis ses débuts.
• Reportage Valérie Clio chante le blues, festival d’été au Petit Impérial le 11 juillet 2014.

Clio a une voix magnifique et une présence scénique très vivante et chaleureuse, elle a chanté entre autres, Clock on the Wall écrite pour elle par Randall Spear, Oh Yeah!, très belle acoustique où Shawn Rice débute seul à la slide accompagné de Peter Shonk à l’harmonica, Falling For You, une composition originale où l’accord voix et guitare de Clio et de Shawn était remarquable. Clio nous a donné de très intenses interprétations de Spoonful (Willie Dixon) et It Hurts Me Too (Tampa Red, popularisé par Elmore James) en fin de première partie. Shawn Rice a fait de belles envolées à la guitare et comme il en avait apporté plusieurs, l’intérêt se renouvelait au fil des chansons.
J’ai passé un beau moment en compagnie de Clio and the Blues Highway, mais le temps de jaser un peu avec Yannick Lambert, le programmateur de Donnacona au Rythme du Blues, j’ai dû quitter pour essayer de récupérer quelques heures de sommeil dans cette enlevante mais fatigante série de « coucher tard » qu’est le volet blues du festival d’été au Petit Impérial. Clio avait deux invitées que j’aurais aimé entendre, deux de nos belles voix féminines de Québec, Caroline Viens et Maude Brochu mais je me promets bien de me reprendre le plus tôt possible pour les entendre à nouveau.
• Reportage Jeff Jensen Band festival d’été au Petit Impérial le 10 juillet 2014.

Un nouvel ami de blues m’a fait rire quand il m’a agacée en disant que si j’étais juge aux olympiques, j’aurais besoin de cartons de plus que 10 points. Que voulez-vous? J’ai de la difficulté à contenir mon enthousiasme quand il s’agit de parler d’un bon spectacle de blues. Et comment ne pas donner une note plus que parfaite à Jeff Jensen? Imprimez-moi des cartons de 15 points! Jeff Jensen Band était au Petit Impérial pour le 8ème spectacle du volet blues du festival d’été qui file trop vite à mon goût. C’était sa deuxième visite au Petit Impérial, il était auparavant le guitariste de Brandon Santini avec qui il est venu l’an passé et il considère cet spectacle comme l’un des plus marquant de sa carrière. Il s’est dit honoré de revenir cette année avec son propre band. Bill Ruffino à la basse en était à sa troisième visite à Québec et j’ai revu avec plaisir ce musicien passionné et sympathique. Robinson H. Bridgeforth (22 ans) à la batterie est avec le band depuis 6 mois et son jeu tout en finesse est un régal pour les oreilles. Certains pensaient qu’il avait fait des études au conservatoire, mais non, le fait de commencer à jouer à 3 ans vaut bien plusieurs diplômes de musique. C’est agréable de voir ces jeunes musiciens de blues pleins de talent, on en a vu plusieurs dans la série, ça donne espoir pour la suite.
Jeff Jensen est généreux, dédié à sa musique. Il la vit en nous la présentant, on sent une telle intensité en lui quand il chante et joue de la guitare qu’il nous plonge dans un moment spécial et précieux de blues. Je devais me secouer un peu l’esprit à la fin de chaque chanson pour revenir à la réalité. Il bouge beaucoup, il s’est présenté sur la scène les cheveux attachés qui le sont restés un gros 20 secondes avant que ses mouvements libèrent la crinière. Sur sa Gibson s335 qu’il a utilisée jusqu’au rappel, Jensen se donne totalement dans des solos inspirés et parfois, il est tellement concentré dans ce qu’il veut communiquer, qu’il ne prend pas le temps de retourner au micro pour chanter et le fait directement sans micro. On le sent fier et reconnaissant de l’énergie échangée avec le public et il nous le dit par ses commentaires et par sa musique.
Jeff Jensen a 3 albums à son actif, il nous a présenté une sélection tirés de ceux-ci particulièrement du récent « road worm and ragged » sorti en 2013 dont la moitié des titres sont de sa composition. Un très bon album que j’écoute avec les souvenirs encore présents des chansons live. De beaux covers étaient aussi au programme, tels que She’s 19 Years Old de Muddy Waters, un west coast blues dansant de T-Bone Walker, le superbe slow Five Long Years chanté avec ferveur, qu’il nous a affirmé être une expérience personnelle, Double Trouble d’Otis Rush a fait aussi partie des moments forts.
Au rappel, une magnifique interprétation de All Along the Watchtower (Bob Dylan reprise par Hendrix) où nous avons eu l’occasion d’entendre chanter Bill Ruffino, a terminé cette soirée magique. Quand nous avons quitté, les sympathiques et souriants musiciens échangeaient encore avec les admirateurs. Voilà une autre groupe que je mets sur ma liste de souhaits pour les revoir le plus tôt possible!
Plus de photos de jean-François Desputeaux ICI
• Valérie Clio au Petit Impérial le 11 juillet 2014.
• Reportage Victor Wainwright and the Wildroots festival d’été au Petit Impérial le 8 juillet 2014.

J’étais déjà en amour avec Victor Wainwright and the Wildroots depuis leur première visite à Québec en 2012, eh bien, j’ai renouvelé mes voeux le 8 juillet au Petit Impérial! Et je ne suis pas la seule, le Petit Impérial faisait salle comble et je crois bien que chaque personne présente est repartie avec de l’amour pour ce groupe dans son coeur. Nous avons bénéficié de la thérapie joyeuse, guérisseuse, du blues. Victor Wainwright est originaire de Savannah en Georgie, il habite maintenant à Memphis. Gagnant 2013 et 2014 du prix Pinetop Perkins à Memphis, c’est un talentueux pianiste de blues et il offre sa musique avec une ferveur généreuse.
Les Wildroots sont une équipe éclatante d’énergie sur la scène, Nick Black, 25 ans, est à la guitare. Il vient de remporter 2 prix aux Juneteenth Urban Music Awards avec son groupe et son album, The Soul Diaries. Excellent guitariste, il a une très belle voix et il nous offre des solos inspirés. C’est lui qui ouvre le spectacle avec une chanson où il nous présente les musiciens, puis Victor Wainwright entre sur scène où il prend toute la place au sens propre du terme, par son imposante stature et son sens du spectacle. J’ai embarqué à fond dans cette « mise en scène » des musiciens, en particulier Wainwright qui nous a fait rire avec ses mimiques et son cabotinage au piano tout en offrant une performance incroyable. Chaque chanson est comme une saynète, une petite comédie en elle-même et les musiciens comme une troupe de théâtre. C’était très agréable et, comme nous a dit Victor: Le piano blues a plusieurs vocations et il nous offrait son spectacle en souhaitant que le lendemain en nous levant, nous prenions la vie 5% moins au sérieux.
Il a joué un superbe boogie en nous expliquant justement les vocations du piano blues, entre autres, à l’époque où il y avait des pianistes dans les gares, le pianiste devait jouer vite parce qu’il manquait souvent des cordes ou des marteaux au piano et il fallait faire beaucoup de notes pour ne pas que cela paraisse. Il fallait aussi jouer fort pour enterrer le bruit des trains. Victor a aussi chanté Same Old Blues. Quel moment magique! Peu de piano, un solo brûlant de Nick Black et Victor qui est allé dans la salle pour chanter a capella. On était sous le charme, conquis, si c’est possible de l’être plus que nous l’étions déjà.
Après une telle première partie endiablée, ne pensez pas une seconde que les musiciens puissent montrer le moindre signe de fatigue, ils sont revenus avec une énergie redoublée pour nous présenter leur récent album, Family Roots. Des pièces magnifiques, le nom le dit, inspirées des racines, aux rythmes Nouvelle-Orléans. Encore là, nous nous sommes bien amusés mais nous avons eu des moments d’intenses émotion que je revis en ce moment en écoutant l’album qui n’a pas fini d’être mon préféré. Dans un silence total de la foule tel qu’on en voit rarement, Victor a chanté de sa voix superbe et puissante, c’était un enchantement. D’autre morceaux comme Get Behind the Mule et Riboes & Diamonds ont des beats que j’adore tout comme Minnie The Moocher qui s’inspire de St-James Infirmary Blues. La version de Same Old Blues captée au Blues Music Awards 2013 est aussi sur l’album ce qui me le rend d’autant plus précieux.
En terminant je veux aussi parler des autres musiciens, la cohésion de ce groupe est de toute beauté. À certains moments, quand on pense que l’énergie blues est à son comble, les musiciens la remontent encore d’une coche. William Hanlon le jeune bassiste qui est avec le band depuis 2 ans est une bombe d’énergie, il s’éclate sur la scène. Billy Dean à la batterie est d’une efficacité sans faille que ce soit dans les explosions de puissance musicale que dans les moments où on n’entend de lui que les effleurements de cymbales.
Au rappel nous avons chanté en choeur I’ll Fly Away, un gospel écrit en 1929. Puis Victor nous a chanté une pièce où il a encore mis tout son coeur avec de longs moments a capella très émotifs. Une instrumentale rapide a terminé le spectacle pour nous sortir de la transe ravie où il nous avait plongés et nous avons bien dû nous rendre à l’évidence que c’était déjà terminé.
La suite du volet blues au Petit Impérial ICI
In closing I want to also talk about the other musicians, the cohesion of the group is beautiful. At times, when we think the blues energy is at its peak, the musicians still come with more. William Hanlon is the young bassist with the band for 2 years, and he is a blast of energy, exploding on stage. Billy Dean on drums is seamless efficiency, whether in explosions of musical power or just the way he lightly touches the cymbals.
For their encore we sang in choir I’ll Fly Away, written in 1929, and now with Victor. The gospel sang us a room of joy where he still put his heart with long moments of a cappella… very emotional. A rapid instrumental closed the show to get us out of the trance, and happy where he plunged us to begin with.
terminé ★ tirage! deux CD de Brandon Santini à faire tirer à l’occasion de sa venue au Petit Impérial le 13 juillet 2014.
tirage terminé, bravo aux gagnants et bon spectacle!
En collaboration avec Brandon Santini, j’ai 2 exemplaires de son plus récent album « This Time Another Year, » à faire tirer, accompagnés d’une photo dédicacée. Les deux gagnants devront prendre possession de leur prix lors du spectacle du 13 juillet 2014 au Petit Impérial pour la série blues du festival d’été. Vous devez être présent au spectacle pour réclamer votre prix, il ne vous sera pas envoyé par la poste ou gardé d’aucune manière. Ceci pour encourager le blues live.
Pour participer, il vous suffit de mettre le mot « concours » en commentaire en bas de cet article avec votre nom et adresse courriel. Je ne publierai pas vos coordonnées mais elles iront dans le baril pour le tirage. Deux noms seront tirés au hasard parmi les participants et je contacterai les gagnants par courriel. Je donnerai le nom des gagnants aux musiciens et vous n’aurez qu’à vous présenter à eux, avant ou après le spectacle ou encore à la pause, pour recevoir votre prix.
Le tirage aura lieu le 10 juillet en fin de soirée, vous avez jusqu’à ce moment-là pour participer.
Évidemment ceci est fait en toute bonne foi et dans la bonne humeur, je décline toute responsabilité s’il advenait quoi que ce soit de malheureux suite à ce tirage. Participez en grand nombre! Vous avez beaucoup plus de chances de gagner qu’à la loterie. Bon spectacle!
• Reportage Selwyn Birchwood Band, festival d’été au Petit Impérial le 7 juillet 2014.

Avec sa belle Gibson tatouée du logo de la Blues Fondation, cadeau qu’il s’est mérité avec son IBC Award, Selwyn Berchwood a offert toute une soirée de blues aux amateurs. Les gens ont adoré son style et ses musiciens, Donald Huff Wright à la basse( Lucky Peterson, Joey Gilmore), Curtis Nutall à la batterie, (Blind Boys of Alabama, Joe Louis Walker) et Regi Oliver au sax baryton(Lucky Peterson et plusieurs autres). Les spectateurs amateurs de ces instruments ont été bien servis, les trois sont spectaculaires. Le bassiste joue souvent à cordes frappées, c’était très intéressant d’entendre sa prestation, le batteur qui vient de Chicago à vraiment le style de l’emploi, il fait tourner ses baguettes en jouant sur une batterie bien garnie de plusieurs cymbales, détail amusant, un personnage en peluche était suspendu à la grosse caisse et, grâce aux vibrations, dansait en rythme avec la musique. Le saxophoniste a un impressionnant tableau de pédales, le tout sans fil, pour modifier le son de son sax. Il m’a dit pouvoir jouer de « 3 harmony » sur son sax avec cet équipement. Je ne m’y connais pas en musique mais ça répond à l’interrogation de ceux qui se surprenaient de la diversité de tons que Regi Oliver peut tirer de son saxophone. Selwyn Birchwood est à la guitare, le grand jeune homme originaire de la Floride a une voix rauque presque caverneuse mais juste, elle est un peu surprenante au début mais on finit par lui reconnaitre son charme. Habile à la guitare, il joue avec ou sans pic qu’il met simplement dans sa bouche qu’il il ne l’utilise pas. Il une très belle présence sur scène, il parle à la foule et la tient attentive par son interaction avec elle.
Birchwood qui vient de signer avec la prestigieuse maison de disques Alligator nous présentait son album Don’t Call No Ambulance sorti en juin dernier. Après quelques chansons tirées de celui-ci, il s’est assis et à sorti sa petite guitare noire pour nous faire, à la slide, du blues des racines tel qu’on le joue le week-end, dans le sud de la Floride où il ne faut pas croire, dit-il, qu’il y a seulement Disneyland. Et comment on joue le blues le week-end? On enlève ses souliers, ce qu’il a fait, et il ne les a plus remis de la soirée. Il nous a joué un mémorable « dirty blues », Crawling King Snake (John Lee Hooker) qu’il a commencé à la slide, puis, rangeant sa guitare, il n’a gardé que le micro en nous disant qu’il allait nous montrer comment rampe un King Snake et il l’a fait réellement, se couchant sur la scène en rampant jusque sur le plancher tout en continuant à chanter. Il a ensuite été dans la salle pour échanger quelques hip shakes avec une dame dans la foule et il a terminé en jouant sur une mince guitare lap steel. J’ai adoré cette chanson qu’il a commencé seul à la slide, un beau blues des origines.
Selwyn a été très occupé à la pause à répondre à ses admirateurs qui faisaient la file pour acheter son album et lui et ses musiciens étaient tous accessibles et ouverts à échanger avec les fans. La deuxième partie a été marquée par une sortie dans la foule du saxophoniste et de Birchwood que les amateurs ont beaucoup apprécié et applaudi. Mon coup de coeur de cette partie a été la belle Same Old Blues, où j’ai beaucoup aimé le solo de Birchwood, j’ai trouvé qu’il a été l’un des mieux inspirés de la soirée. La rappel a consisté en un blues rock très saccadé joué à la lap steel que j’ai trouvé réussi dans son genre. Birchwood fait un blues assez moderne, un peu dispersé dans le son d’ensemble quant à moi, et il laisse beaucoup de place au sax alors que ma préférence va à la guitare. Malgré ces quelques réserves, j’ai apprécié ma soirée et la qualité de tous les musiciens. La foule était en délire, les commentaires ravis fusaient de toutes parts à la fin du spectacle et Selwyn continuait à vendre des albums.
Merci à Jean-François Desputeaux, les photos signées sont de lui. Plus de photos ici
• Reportage Jason Elmore and Hoodoo Witch, festival d’été au Petit Impérial le 6 juillet 2014.
Bon, excusez les superlatifs qui vont suivre mais j’ai un nouveau guitar hero en la personne de Jason Elmore. Jason Elmore and Hoodoo Witch, un trio du Texas, était au Petit Impérial le 6 juillet. Juste pour vous dire, dès le premier solo il a désaccordé sa guitare pour en modifier le son et à ses dernières notes il a cassé toutes ses cordes. Voilà, je vous entends presque porter un jugement mais ce sont les 2 seules extravagances que ce magicien de la guitare s’est permises, tout le reste entre les deux n’était que merveilles de précision inventive.
Je pensais que le guitariste de 36 ans avait une formation en musique tellement son doigté est bien défini mais c’est un autodidacte, il dit avoir écouté beaucoup, beaucoup de musique. D’ailleurs, quand on regarde ses influences, de Freddie King à Black Sabbath, d’Elvis à Joe Satriani, ce n’est pas surprenant que Jason Elmore ait une palette très étendue. Une palette étendue qui, en spectacle, forme un tout où plusieurs styles ont été abordés sans cassures dans le rythme et vraiment, on allait de surprises ravies en découvertes étonnantes. Avant d’entamer la deuxième chanson, très calme, une étincelle rieuse dans les yeux, ce grand chevelu se présente et présente ses musiciens, dit que qu’ils sont souvent allés dans l’ouest canadien et que c’est leur première visite dans l’est. Mike Talbot est à la batterie et le jeune Brandon Katona(19 ans), à la basse. Et nous voilà partis pour une soirée de découvertes éblouies. La liste comprenait en majorité des compositions tirées des deux albums du groupe, Upside Your Head (2010) et Tell You What (2013), ce dernier nommé au Blues Blast Awards, et même quelques nouvelles compositions. Quant aux musiciens, déjà conquis par leur talent nous en avons eu la démonstration par deux solos élaborés à la basse et à la batterie.
Quelques pièces à la slide ont débuté la deuxième partie. Pour le covers, nous avons entendu des titres comme Are You Experienced de Hendrix et Polk Salad Annie et le spectacle s’est terminé avec Love With a Feeling (Freddie King) où Jason Elmore a fait le solo à genoux au bord de la scène, un moment intense de pur blues, et Strawberryfields Forever (The Beatles). Ces interprétations comme le spectacle au complet étaient magiques avec la touche Jason Elmore, des solos serrés, puissants, sans esbroufe, c’était magnifique. L’impressionnante pedal board a été utilisée avec parcimonie, juste pour ajouter de la texture comme dit Jason.
Il y avait tellement de spectacles intéressants à Québec dimanche que c’en était déchirant de choisir mais je suis heureuse de mon choix de rester fidèle à la série blues du Petit Impérial pour le plaisir des découvertes blues, le souvenir de ce spectacle restera longtemps dans ma mémoire. Souhaitons de tout coeur voir revenir Jason Elmore & Hoodoo Witch à Québec.
La suite de la programmation ICI
• Reportage de Nathalie Leblond: Matt Andersen And The Mellotones le 4 juillet 2014 au Festival d’été de Québec.
Originaire de Perth- Andover du Nouveau Brunswick, Matt Andersen en a fait du chemin depuis le début de sa carrière en 2002…ayant même joué plus de 200 spectacles dans la même année et 9 albums plus tard c’est un mélomane et artiste assidu et doué. Couronné en 2011 d’un Maple Blues award pour l’Entertainer of the Year and Acoustic Act of the Year. Bien mérité, il continue de festivals en festivals à enivrer le monde … et se faire couvrir d’éloge.
Ce soir, accompagné de 9 musiciens » The Mellotones » il joue dès le début plusieurs chansons de son plus récent album Weightless sorti au début 2014. J’avoue qu’avec l’ensemble de cuivres (saxophone, trompette, trombone) ça remplit assez bien cette prestation musicale. Maniant sa guitare comme seul lui peut le faire, il a su charmer l’auditoire de la scène hydro Québec. J’avoue sincèrement avoir pris plusieurs minutes à aimer l’entendre avec plusieurs musiciens….car moi les fois où je l’ai vu, il était seul sur scène avec sa guitare, il m’avait séduite de cette manière. Mais le band (claviers, batterie, trompette, trombone, saxophones et choriste) est assez solide, talentueux et qui ressemble étrangement à du Joe Cocker, le suit et l’accompagne merveilleusement bien.
Matt aime être sur scène, il a un plaisir fou à se dandiner, sourire aux gens et semer la bonne humeur autour de lui. Quoi demander de plus que quelqu’un qui joue avec ses tripes et laisse transparaître ses émotions à travers sa guitare…qui a mon avis n’était pas assez forte. On avait parfois de la difficulté à le distinguer à travers le band… Jouant quelques tounes acoustique »So gone now » étant ma préférée, il a conquis la foule….Il nous a fait vibrer. L’éclairage tamisé et le vent présent sèment une ambiance feutrée agréablement sentie. Tout le monde danse, s’enlace…que de vibrations positives planent sur cette charmante soirée.
» I’m going down’‘ au contraire en décoiffe plusieurs, assez pesant à la manière »Walter Trout » ça rentre à fond dans le plancher! Accompagné de claviers, ensemble de cuivres, d’un choriste- trompettiste…tout est en place pour que ça déplace de l’air!!! »Devils‘bride » en symbiose avec les »brass » ne laisse personne indifférent non plus. Pour terminer, il se permet une belle intrusion dans l’univers de Joe Cocker » with a little help from my friends » l’auditoire l’accompagne en chantant harmonieusement à tue-tête. C’est beau, mélodieux et charmant comme ambiance ce soir.
La première fois que je l’ai entendu c’était en novembre 2012 au Petit Impérial et les mots que j’avais eu pour le décrire étaient : Déjà complètement charmée avant même qu’il monte sur scène….Avec son assurance et son imposant physique…je savais très bien qu’il sortirait de ce corps quelque chose d’assez solide !!! Son charme indéniable et sa voix puissante ont fait de cette soirée une magie à saveur Blues comme on les aime. Merci à ces musiciens qui nous enivrent et nous font vibrer tout en nous laissant pénétrer dans leur univers émotionnel tellement sensitif. Merci à toi Matt Andersen. I love your Blues!
Nathalie Leblond pour le blog de Tatiblues
Merci à Jean François Desputeaux pour les photos
• Reportage Kevin Mark Blues Band festival d’été au Petit Impérial le 5 juillet 2014.
Assister à un spectacle de Kevin Mark et ses musiciens est une gâterie dont tout amateur de blues doit profiter le plus souvent possible. Surtout que nous avons eu la frousse alors que Kevin s’est retiré pendant un an du domaine du spectacle. En février 2014, il nous annonçait son retour et j’ai assisté à 2 prestations à guichets fermés du groupe depuis, dont celle du Petit Impérial le 5 juillet dans le cadre du volet blues du festival d’été. Un spectacle époustouflant! Kevin s’est fait de nombreux nouveaux fans et a encore fait craquer ses fidèles admirateurs par sa présence charismatique et son jeu éblouissant.
Kevin Mark a reformé son band avec les musiciens avec qui il joue depuis des années. Little Frankie Thiffault et Moose Mousseau, l’équipe imbattable aux saxophones, Rob « Big Daddy » Marcheterre à la batterie. Le « petit nouveau » dans le groupe est François « Dutch » Dubé à la basse. Un band tissé serré qui a une énergie communicative peu commune et il l’a démontré avec brio sur la scène du Petit Impérial. La set list est ponctuée des courtes descriptions de Kevin qui nous parle de ses coups de coeur, de ses idoles, de ceux qui l’ont amené à faire du blues. On a donc profité avec bonheur des Baby What You Want me to Do, You Call Everybody Sweetheart, Cold Cold Feeling, Personnel Manager.
Big Daddy avait apporté son bucket de sucettes qu’il lançait dans la foule, il a fait une tournée dans la salle pour nous accompagner dans la chanson à répondre Shake It Up. Little Frankie nous a fait, comme toujours, des solos remarquables au sax, tout comme Dutch Dubé à la basse. Parlant de solos remarquables, Kevin était en feu! Cold Cold Feeling d’Albert Collins a été un moment intense, il a réussi à jouer à volume minimum dans le silence attentif de la salle, ponctué évidemment de cris de quelques égos surdimensionnés qui voulaient faire partie du show. Ces moments sont rares et je trouve dommage que la foule y mette un terme en faisant du bruit. C’est là que les musiciens remontent le son et le moment magique est passé…
Wee Baby Blues est un bijou avec son beat sexy tout en douceur, Personnal Manager est brûlant, le rappel nous jette par terre avec la percutante Misirlou (Dick Dale, Pulp Fiction). On a de la difficulté à quitter cette belle ambiance, on s’attarde dans la rue en ce beau soir de juillet et on revient à la maison heureux. Voilà l’effet Kevin Mark Blues Band.
Si vous voulez attraper la piqûre ou renouveler votre dose, Kevin Mark sera à l‘Événement l’Île en Blues le samedi 16 août et il revient au Petit Impérial le 6 septembre prochain pour une levée de fond pour Entraide Parkison.
la suite de volet blues du festival d’été ICI
plus de photos ici
• Reportage Rick L. Blues, festival d’été au Petit Impérial le 4 juillet 2014.
C’est vraiment un plaisir de retrouver le Petit Impérial rempli d’amateurs, d’y voir les amis et d’y faire de nouvelles rencontres pour échanger sur nos coups de coeurs blues. Rick L. Blues nous présentait son album, tout frais pressé, le 4 juillet. Seven est un album acoustique mais le spectacle était en band complet, avec l’excellent Henri Breton à la guitare, complice des tout débuts qui fête ses 25 ans avec Rick L. Blues, Carl Rufh à la basse, que je me souvenais avoir vu à l’Île en Blues avec Craig Miller et Pat Loiselle, et Phil « Good » Bernatchez de Québec à la batterie qui sait toujours s’intégrer au quart de tour dans un spectacle. Philippe est le batteur attitré de Mike Deway et de Caroline and the Stars Above.
Multiinstrumentiste, Rick L. Blues a touché plusieurs instruments avant de s’arrêter à l’harmonica. Ses deux instruments, son harmonica et sa voix forment un bel ensemble, il a une voix puissante qui s’adapte à tous les styles. Rick L. Blues a pigé dans son vaste répertoire et ses sept albums pour nous chanter avec talent nos standards du blues tels que Sweet Home Chicago, My Babe, Hound Dog, ces deux dernières étant sur le nouvel album. La foule enthousiaste a participé avec plaisir aux chansons à répondre telles que Who de Little Walter. Rick fait aussi ses propres compositions, son quatrième album, Back to the Roots With Friends, que j’écoute en écrivant ces lignes, comporte 14 chansons originales de bon blues.
En souvenir d’une rencontre avec Jay Sewall, il y a des années sur la rue St-Jean, alors que Jay l’avait invité à se joindre à lui lors d’un jam, Rick a fait monter Jay sur scène pour quelques chansons. Un beau moment d’échange entre les harmonicistes, entre autres, un Little Red Rooster assez hot merci! Soulignons le talent d’Henri Breton à la guitare, j’ai toujours apprécié son style, à l’accompagnement tout en nuances variées comme dans les solos inventifs. Il nous a même fait du scat singing (chanter en onomatopée les notes de la guitare) en début de spectacle, tout à fait intéressant! Henri Breton a reçu plusieurs ovations bien méritées.
Rick L. Blues nous a donné une belle ambiance blues et la foule a beaucoup apprécié le spectacle.
Toute la programmation blues du Petit Impérial ICI
• Reportage festival d’été, Gaëlle Buswel au Petit Impérial le 3 juillet 2014.
Charmante, généreuse, charismatique, talentueuse, Gaëlle Buswel a conquis la foule qui se massait au Petit Impérial pour le premier soir du festival d’été. Elle venait nous présenter son récent album Black To Blue en compagnie de son guitariste Michaal Benjelloun. Deux guitares acoustique et, pour quelques chansons, une lap steel utilisée par Benjelloun, et la magnifique voix de Gaëlle avec un léger soupçon d’écho du plus bel effet dans le micro. Voilà qui était suffisant pour nous séduire tous. Dans un style folk rock, les deux musiciens nous ont offert la majorité des chansons de l’album ainsi que quelques morceaux de leur répertoire et du premier album de Gaëlle, Yesterday’s Shadows.
Gaëlle nous a fait chanter Tandem de Vanessa Paradis et La Ballade de Jean Batailleur de Zachary Richard, et on s’est rendu compte qu’on connait mieux notre Zachary que notre Vanessa. Une superbe adaptation de Help! des Beatles, la dansante Simply The best de Tina Turner, Un Homme Extraordinaire des Innocents, étaient aussi sur la liste. Mais plus! nous avons découvert les compositions de l’album, toutes plus accrocheuses les unes que les autres. Benjelloun a un talent fou à la guitare et les solos qui ont ponctué le spectacle étaient fascinants à écouter. Il accompagne aussi à la voix et l’entente entre les deux musiciens est évidente. Quant à Gaëlle, en plus d’admirer son jeu talentueux à la guitare, j’avoue qu’à plusieurs moments de la soirée j’avais une fixation auditive sur sa voix en oubliant d’écouter l’ensemble. Une grande voix qu’elle utilise dans toute sa puissance et ses nuances sans chercher les effets extravagants. Elle a une belle présence sur la scène, un sourire irrésistible et un écoute généreuse pour les fans nombreux venus lui dire leur admiration à la pause et après le spectacle.
Et quelle belle surprise en montant dans l’auto pour revenir à la maison. J’ai mis Black To Blue dans le lecteur et, dans la chaleur pluvieuse de juillet, je me suis sentie comme dans un road trip à l’américaine. Cet album, en full band, est un vrai bijou! Quel bon cd d’une qualité globale impressionnante comme le spectacle acoustique. Quatorze pièces excellentes à tout point de vue: composition, arrangements, interprétation vocale et instrumentale, belle guitare acoustique et électrique, qualité d’enregistrement. En prime une magnifique interprétation de The Weight de The Band par Neal Black. Aucune faiblesse.
Demande spéciale à Michel Rochette: les revoir sous cette formule!
La suite du volet blues ICI
★ tirage! deux CD de Brandon Santini à faire tirer à l’occasion de sa venue au Petit Impérial le 13 juillet 2014.
Cadeau pour mes lecteurs! Tirage le 10 juillet, spectacle le 13 juillet!
En collaboration avec Brandon Santini, j’ai 2 exemplaires de son plus récent album « This Time Another Year, » à faire tirer, accompagnés d’une photo dédicacée. Les deux gagnants devront prendre possession de leur prix lors du spectacle du 13 juillet 2014 au Petit Impérial pour la série blues du festival d’été. Vous devez être présent au spectacle pour réclamer votre prix, il ne vous sera pas envoyé par la poste ou gardé d’aucune manière. Ceci pour encourager le blues live.
Pour participer, il vous suffit de mettre le mot « concours » en commentaire en bas de cet article avec votre nom et adresse courriel. Je ne publierai pas vos coordonnées mais elles iront dans le baril pour le tirage. Deux noms seront tirés au hasard parmi les participants et je contacterai les gagnants par courriel. Je donnerai le nom des gagnants aux musiciens et vous n’aurez qu’à vous présenter à eux, avant ou après le spectacle ou encore à la pause, pour recevoir votre prix.
Le tirage aura lieu le 10 juillet en fin de soirée, vous avez jusqu’à ce moment-là pour participer.
Évidemment ceci est fait en toute bonne foi et dans la bonne humeur, je décline toute responsabilité s’il advenait quoi que ce soit de malheureux suite à ce tirage. Participez en grand nombre! Vous avez beaucoup plus de chances de gagner qu’à la loterie. Bon spectacle!
• Sortie du nouvel album de Rick L. Blues en juin 2014.
Le 7ème album de Rick L. Blues sortira le 23 juin, il s’intitule bien justement Seven et il est acoustique. JD Slim et Henri Breton sont les musiciens et Shawn McPherson y apparait comme invité spécial.
notez que Rick L. Blues sera au Petit Impérial le 4 juillet prochain dans le cadre du volet blues du festival d’été. J’ai 2 albums à faire tirer de cet artiste et de plusieurs autres, voyez les détails ici
★ tirage! 2 CD de Rockin’ Jake Band à faire tirer à l’occasion de leur venue au Petit Impérial le 12 juillet 2014.
La série de cadeaux pour mes lecteurs se poursuit!
En collaboration avec Rockin’ Jake j’ai 2 CD à faire tirer. Les deux gagnants devront prendre possession de leur prix lors du spectacle du 12 juillet 2014 au Petit Impérial pour la série blues du festival d’été. Vous devez être présent au spectacle pour réclamer votre prix, il ne vous sera pas envoyé par la poste ou gardé d’aucune manière. Ceci pour encourager le blues live.
Pour participer, il vous suffit de mettre le mot « concours » en commentaire en bas de cet article avec votre nom et adresse courriel. Je ne publierai pas vos coordonnées mais elles iront dans le baril pour le tirage. Deux noms seront tirés au hasard parmi les participants et je contacterai les gagnants par courriel. Je donnerai le nom des gagnants aux musiciens et vous n’aurez qu’à vous présenter à eux, avant ou après le spectacle ou encore à la pause, pour recevoir votre prix.
Le tirage aura lieu le 1er juillet à 20h, vous avez jusqu’à ce moment-là pour participer.
Évidemment ceci est fait en toute bonne foi et dans la bonne humeur, je décline toute responsabilité s’il advenait quoi que ce soit de malheureux suite à ce tirage. Participez en grand nombre! Vous avez beaucoup plus de chances de gagner qu’à la loterie. Bon spectacle!
★ tirage! 2 CD de J.P. Soars and the Red Hot à faire tirer à l’occasion de leur venue au Petit Impérial le 9 juillet 2014.
Les musiciens sont généreux! Cadeau pour mes lecteurs!
En collaboration avec J.P. Soars, j’ai 2 CD à faire tirer. Les deux gagnants devront prendre possession de leur prix lors du spectacle du 9 juillet 2014 au Petit Impérial pour la série blues du festival d’été. Vous devez être présent au spectacle pour réclamer votre prix, il ne vous sera pas envoyé par la poste ou gardé d’aucune manière. Ceci pour encourager le blues live.
Pour participer, il vous suffit de mettre le mot « concours » en commentaire en bas de cet article avec votre nom et adresse courriel. Je ne publierai pas vos coordonnées mais elles iront dans le baril pour le tirage. Deux noms seront tirés au hasard parmi les participants et je contacterai les gagnants par courriel. Je donnerai le nom des gagnants aux musiciens et vous n’aurez qu’à vous présenter à eux, avant ou après le spectacle ou encore à la pause, pour recevoir votre prix.
Le tirage aura lieu le 1er juillet à 20h, vous avez jusqu’à ce moment-là pour participer.
Évidemment ceci est fait en toute bonne foi et dans la bonne humeur, je décline toute responsabilité s’il advenait quoi que ce soit de malheureux suite à ce tirage. Participez en grand nombre! Vous avez beaucoup plus de chances de gagner qu’à la loterie. Bon spectacle!
★ tirage! 2 CD de Victor Wainwright & the Wildroots à faire tirer à l’occasion de leur venue au Petit Impérial le 8 juillet 2014.
Cadeau pour mes lecteurs! (je vous l’avais dit que c’est vous qui auriez les cadeaux du 5ème anniversaire du blog de tatie!)
En collaboration avec Victor Wainwright, j’ai 2 CD à faire tirer. Les deux gagnants devront prendre possession de leur prix lors du spectacle du 8 juillet 2014 au Petit Impérial pour la série blues du festival d’été. Vous devez être présent au spectacle pour réclamer votre prix, il ne vous sera pas envoyé par la poste ou gardé d’aucune manière. Ceci pour encourager le blues live.
Pour participer, il vous suffit de mettre le mot « concours » en commentaire en bas de cet article avec votre nom et adresse courriel. Je ne publierai pas vos coordonnées mais elles iront dans le baril pour le tirage. Deux noms seront tirés au hasard parmi les participants et je contacterai les gagnants par courriel. Je donnerai le nom des gagnants aux musiciens et vous n’aurez qu’à vous présenter à eux, avant ou après le spectacle ou encore à la pause, pour recevoir votre prix.
Le tirage aura lieu le 1er juillet à 20h, vous avez jusqu’à ce moment-là pour participer.
Évidemment ceci est fait en toute bonne foi et dans la bonne humeur, je décline toute responsabilité s’il advenait quoi que ce soit de malheureux suite à ce tirage. Participez en grand nombre! Vous avez beaucoup plus de chances de gagner qu’à la loterie. Bon spectacle!
★ tirage! 2 CD de Valérie Clio à faire tirer à l’occasion de sa venue au Petit Impérial le 11 juillet 2014.
En collaboration avec Valérie Clio j’ai 2 CD à faire tirer. Les deux gagnants devront prendre possession de leur prix lors du spectacle du 11 juillet 2014 au Petit Impérial pour la série blues du festival d’été. Vous devez être présent au spectacle pour réclamer votre prix, il ne vous sera pas envoyé par la poste ou gardé d’aucune manière. Ceci pour encourager le blues live.
Pour participer, il vous suffit de mettre le mot « concours » en commentaire en bas de cet article avec votre nom et adresse courriel. Je ne publierai pas vos coordonnées mais elles iront dans le baril pour le tirage. Deux noms seront tirés au hasard parmi les participants et je contacterai les gagnants par courriel. Je donnerai le nom des gagnants aux musiciens et vous n’aurez qu’à vous présenter à eux, avant ou après le spectacle ou encore à la pause, pour recevoir votre prix.
Le tirage aura lieu le 1er juillet à 20h, vous avez jusqu’à ce moment-là pour participer.
Évidemment ceci est fait en toute bonne foi et dans la bonne humeur, je décline toute responsabilité s’il advenait quoi que ce soit de malheureux suite à ce tirage. Participez en grand nombre! Vous avez beaucoup plus de chances de gagner qu’à la loterie. Bon spectacle!