« That’s Where It’s At » de Michael Jerome Browne disponiblele 8 février 2019.
De la musique soul vue par un musicien blues traditionnel, « That’s Where It’s At » a été enregistré à Sherbrooke, Montréal et Hamilton. Le fingerstyle et la voix chaude de Michael Jerome Browne sont accompagnés seulement par John McColgan à la batterie sur 5 chansons et les voix de Harrison Kennedy, Eric Bibb and Roxanne Potvin. La musique soul, née dans les années ’60 est encore bien présente aujourd’hui et tire ses racines du gospel, des spirituals et du blues.
Cet album comprend 5 chansons originales et des versions de classiques soul( Sidney Carter et Blind Willie Johnson), blues des années ’60 (Lowell Fulson, Sam Cooke, Bobby « Blue » Bland), et des interprétations de chansons des années 70 et 80 (Al Green, Randy Newman, Stevie Wonder).
Enregistré au studio Audiobec dans le Canton de Hatley, Québec
source Sarah French publicity
- Don’t Ask Me Why 2:02
- Black Nights 3:21
- Skeletons 4:14
- Pharaoh (with Harrison Kennedy) 3:26
- Everybody Ought To Treat A Stranger Right (with Eric Bibb) 2:35
- Love’s A Funny Thing 3:09
- Remember When (with Roxanne Potvin) 3:12
- Here I Am (Come And Take Me) 3:58
- Louisiana 1927 3:27
- Somebody Have Mercy 3:59
- Curtis’ Blues 2:10
- That’s The Way Love Is (with Harrison Kennedy) 3:04
- Where Is The Song? 2:51
- Pharaoh (reprise) 1:39
Disponible maintenant, The Cleaner, nouvel album du guitariste Dan Mckinnon.
Après la publication d’un EP en 2012, ce jeune guitariste de Toronto nous a présenté en 2013 As Sharp as Possible comprenant 10 chansons originales de McKinnon et produit par Jack de Kaiser.
Dan Mckinnon nous offre maintenant son nouvel album blues rock, The Cleaner. Enregistré « live to tape » l’album montre Mckinnon et son groupe dans toute son intensité. La liste comprend des pièces originales, (Storm, King Baby, One Track Mind) et des interprétations tirées des influences du guitarsite, Albert King (17 Years), Junior Kimbrough (All Mine), et The White Stripes (Walk That Aisle).
The Cleaner montre une écriture blues moderne avec une emphase sur les riffs échevelés, les solos brûlants et un groove contagieux.
La période de créativité blues favorite de Mckinnon va de la fin des années ’60 au milieu ’70. Des albums comme B.B. King’s Completely Well, Muddy Waters’ Electric Mud, et Bobby Bland’s Dreamer avaient une grande qualité dans la composition, tiraient leurs racines du blues traditionnel tout en ayant un son contemporain pour l’époque. Avec The Cleaner, il a voulu faire un album qui offre un renouveau dans le blues rock tout en restant branché dans la tradition et le respect de ses prédécesseurs.
1. Storm
2. Walk That Aisle
3. 17 Years
4. King Baby
5. Thoughtfulness
6. All Mine
7. One Track Mind
8. More Than Enough
9. Til You Come Around
10. WOWOWOW
https://www.facebook.com/dmckinnonmusic
http://www.danmckinnonmusic.com/
source:
reportage album Angel’s 11 d’Angel Forrest, disponible le 11 mars 2016.

Comme tout ce que fait Angel, la qualité de cet album est exceptionnelle. On se laisse séduire par la diversité des rythmes et la richesse des arrangements. Les guitaristes sont bien en évidence et la voix d’Angel, avec son homme du moment, fait en sorte que chaque chanson nous captive l’oreille. Difficile d’avoir des préférées sur l’album, le tout s’écoute comme un ensemble qui coule avec bonheur, la voix d’Angel n’a jamais été aussi belle, juste assez éraillée et on se surprend à attendre les moments où elle peut aussi prendre une douceur incomparable.
Le spectacle de lancement se fait le 11 mars, date anniversaire de la chanteuse, au Théâtre Corona. Si vous n’y êtes pas en personne, vous pourrez suivre le spectacle en streaming en vous rendant sur http://livestream.com/accounts/195689/events/4916920 Depuis le mois de janvier, Livetoune vous invite à découvrir les coulisses de l’enregistrement de l’album «Angel’s 11». Chaque semaine, un guitariste était à l’honneur. Toutes les vidéos sont à revoir sur livetoune.com/angels-11.
- HANGMAN feat. Johnny Flash
- ALL THE WAY feat. Rob Macdonald
- SPOIL ME UP feat. Steve Strongman
- HOLD ON TIGHT… (MR. I’M ALRIGHT) feat. Ricky Paquette
- TUMBLEWEED feat. Dimitri Lebel-Alexandre
- GOODBYE feat. Paul Deslauriers
- LET ME GO feat. Kim Greenwood
- WILDFLOWER feat. Corey Diabo
- TOUCH OF MY HAND feat. Shane Murphy
- CRUCIFY feat. Steve Hill
- YOU AND I feat. Adam Karch
reportage album Not Going Away du Bey Paule Band disponible maintenant.
Une belle découverte que ce troisième album du Bey Paule Band basé en Californie, anciennement connu comme The Frank Bey and Anthony Paule Band, du nom du chanteur et du guitariste du groupe. Une liste de 12 chansons dont 10 compositions où plusieurs membres du groupe ont ajouté leur talent comme coauteurs et produit par Kid Andersen du groupe Rick Estrin & The Nightcats. En plus du claviériste, bassiste et batteur, une section cuivre enrichit le tout sans oublier les chœurs féminins sur plusieurs chansons, tout à fait réussis.
Frank Bey, qui a fait partie des tournées d’Otis Redding pendant plusieurs années en ouvrant pour le célèbre chanteur, est originaire de Georgie et possède une voix riche et mélodieuse. Anthony Paule à la guitare a été frontman pour son propre band pendant plusieurs années et a publié 2 albums. Il a aussi tourné avec de grands noms comme Boz Scaggs, Charlie Musselwhite, Bo Diddley, Maria Muldau pour ne nommer que ceux-ci.
Le tout donne du très bon blues avec une touche de soul et une saveur authentique que tout amateur de ce style traditionnel ne manquera pas d’apprécier à coup sûr.
http://beypaule.com/FrankBeyAnthonyPaule/Home.html
1 Black Bottom
2 Kiss Me Like You Mean It
3 Right in Front of You
4 Next to My Heart
5 Someone You Use
6 This Party’s Done
7 Nobody’s Angel
8 Not Goin’ Away
9 Ballad of the Lover Man
10 Noel’s Haze
11 Don’t Ask Me How I Feel
12 If I Could Reach Out
Reportage album Mr Rick sings about God + Booze disponible maintenant.
Un peu déstabilisant au premier abord avec ses airs folkloriques et son violon, cet album m’a vite séduite par ses rythmes traditionnels bien joués. Rick Zolkower, Mr. Rick, est né à Détroit dans les années après guerre, dans une communauté diversifiée où les migrants ont apporté leur musique, il habite maintenant à Toronto. Guitariste acoustique « finger picking », chanteur, compositeur, Mr. Rick fait des arrangements originaux de chansons traditionnelles américaines blues et roots.
Mr Rick sings about God + Booze est le troisième album du musicien, 13 chansons traditionnelles blues, gospels et americana arrangées avec originalité et rendues avec une grande qualité sonore. Mr. Rick est à la voix, guitare acoustique et électrique, Tyler Thompson et Alec Fraser à la basse (ce dernier a fait le mixage), Steve Briggs à la guitare, Ted Hawkins à la batterie et le petit côté déstabilisant de la chose qui finit par nous séduire est la présence de Drew Jureka au violon et de Jono Livingstone à la clarinette. Les back vocals, magnifiques, sont de The Ted Hawkins Signers et de « Blues Doctor » Julie Hill. Excellent dans son style, c’est un album dont j’aime la basse omniprésente et sa sonorité presque rockabilly, les voix d’accompagnement, les solos de guitare et violon, la voix de Mr. Rick, belle et juste.
Le thème est dans le titre, la rectitude religieuse et le plaisir coupable de la bouteille. Des chansons qui sont dans l’esprit de Mr. Rick depuis son enfance, quand il captait des émissions radio, son oreille était toujours attirée par le blues, le country et le gospel. Un album que Mr. Rick a fait pour le plaisir, sans se casser la tête sur des discussions philosophiques sur le bien ou le mal, et qu’il résume ainsi: Aime le whisky et crains ton Dieu.
http://www.cdbaby.com/cd/mrrick
source Sarah French
https://www.facebook.com/mrrick.andthebiscuits?fref=ts
TITRES:
Album Catch Me if you Can de Carson Downey, disponible maintenant.
♪♫♪ Reportage album Blue Skies de Jordan Officer, disponible le 6 novembre 2015.
Avec sa signature inimitable, Jordan Officer nous présente Blue Skies, son troisième album solo où l’on savoure les coups de coeur qui ont jalonné la vie du guitariste depuis sa toute première interprétation à la guitare de Blue Skies de Tom Waits quand il était adolescent. Alors que son précédent album I’m Free (présenté 3 fois à guichets fermés au Festival international de jazz de Montréal 2014-est en nomination au prochain gala de l’ADISQ ) avait été le résultat d’un séjour de 6 mois à New York, cette fois, c’est sur la côte ouest américaine que les bases de Blue Skies ont été jetées. La famille Officer s’est installée à Los Angeles tout le mois de mars 2015 où le guitariste de Montréal a suivi une session de perfectionnement avec les musiciens Mitch Holder et Dennis Budimir, deux pointures américaines que Jordan Officer admire énormément et que l’on peut entendre sur les productions de Phil Spector, des Beach Boys et de centaines d’autres.
« Ce disque exprime toutes les couleurs qui m’habitent. Le blues, bien sûr, mais également le jazz de mes débuts, le country, le rock‘n’roll… Mon instrument, ma voix, rien n’est laissé de côté. Tout y est. Ce n’était pas prémédité, mais Blue Skies, c’est tout ce que je suis. Et c’est la première fois », dira-t-il.
La guitare coule, chante, s’envole, toute en douceur et en subtilité magnifique, la voix a pris une belle justesse et une musicalité certaine, Officer utilise les deux, voix et guitare, dans un mélange subtil qui réjouit l’oreille, le choix des chansons nous fait visiter des styles différents inspirés des souvenirs du guitariste et des couleurs de la Californie, (jazz, blues, country, tex-mex, espagnol, rock’n’roll, etc.).
Suzie Arioli, sa complice de plusieurs années dans le passé chante avec lui Shot of Rhythm And Blues (Arthur Alexander), en tout neuf titres d’auteurs et de styles différents, qui sont passés dans la vie du guitariste à des moments clés, et qu’il s’approprie ici avec doigté et liberté, ce sont les chansons de Phil Spector (Then She Kissed Me), Bob Dylan (When The Deal Goes Down), Fats Domino (It’s You I Love), Leroy Carr (How Long Blues) et d’autres popularisées par The Big Three Trio (Got You On My Mind), Big Joe Turner (Chains Of Love), Louis Amstrong (That’s For Me). Deux instrumentales composées par Officer complètent l’album, Night Flight et Takin’ Off sur laquelle s’exécute, avec son style unique, le Texan Augie Meyers, claviériste du Sir Douglas Quintet et des Texas Tornado, deux réputés ensembles de musique tex-mex qui ont toujours été une grande source d’inspiration pour le guitariste.
J’adore la guitare et le son pur et dépouillé de l’ensemble, les titres choisis ne sont pas des hits archi connus ce qui me donne le plaisir de la découverte sous la griffe Jordan Officer. J’aime beaucoup la pochette avec la photo du musicien habillé chic mais dans une posture du guitariste plutôt rebelle et puis, avouons-le cet homme a un regard perçant très attrayant.
Après une soirée à guichets fermés au Palais Montcalm le 7 novembre, Jordan Officer part en tournée en Europe et revient au Québec pour une série de spectacles en 2016 dont l’Anglicane à Lévis le 16 avril.
source et plus d’infos SIX media
♪♫♪ Reportage album Boom City de Victor Wainwright disponible maintenant.
Victor Wainwright and the Wildroots commence en octobre une tournée pour nous présenter Boom Town, son album sorti au printemps dernier sous la prestigieuse étiquette Blind Pig, et oh merveille, le groupe fait un arrêt au pub Limoilou le 18 novembre prochain. Deux fois récipiendaire du prix Pinetop Perkins aux Blues Music Awards pour le meilleur pianiste, Wainwright sait allier son talent pour la musique et sa chaleureuse présence sur la scène pour conquérir le coeur de tout amateur de blues qui assiste à ses spectacles. Quant à moi, leurs deux présences au Petit Impérial m’ont laissé des souvenirs inoubliables.
Excellent album, Boom Town nous présente un condensé de tout ce qu’on apprécie de ce groupe, la voix sans pareille de Victor, les rythmes traditionnels blues dans toute leur richesse allant du boogie au gospel, le piano et la guitare, les choeurs qui enrichissent plusieurs des 13 compositions. Wainwright a écrit Pianna’s Savannah Boogie, une instrumentale dans la plus pure tradition, a coécrit 2 titres avec Stephen Dees qui lui, signe les 10 autres titres. Ce dernier est aussi producteur, arrangeur, réalisateur et bassiste de l’album auquel il ajoute aussi sa voix et sa guitare.
Nick Black, le talentueux guitariste du groupe, chante sur Stop Bossin’ Me Baby et la belle voix féminine de Patricia Ann Dee accompagne Victor sur la charmante Wildroot Farm en plus d’être aux voix d’accompagnement et au sax ténor. Billy Dean, qu’on a vu avec le groupe au Petit Impérial, est à la batterie. Plusieurs invités donne un son Big Band au cd, JP Soars est à la guitare acoustique sur The Devil’s Bite, les choeurs sont particulièrement réussis sur le gospel When the Day is Done. Ernie Lancaster nous fait entendre sa guitare slide sur l’excellente Genuine Southern Hospitality qui rappelle justement l’autre band de Wainwright, Southern Hospitality où il joue avec Damon Fowler et J.P. Soars.
Avec Boom Town, les Wildroots nous offrent le blues généreux qui caractérise ce groupe et j’espère que les liens vers la musique de Victor Wainwright va vous donner le goût d’aller voir ce groupe en spectacle, ils valent le détour pour bénéficier de la joyeuse thérapie du blues. Voici les dates du theater focused tour 2015 de Victor Wainwright:
♫♪♫ reportage album, Out All Night de Ria Reece Band disponible le 5 octobre 2015.
Le Ria Reece Band lance sont deuxième opus cet automne, Out All Night suit l’album éponyme de 2013 qui a été en nomination pour 2 catégories aux Lys Blues et le Ria Reece Band a également été finaliste au concours TBS Talent Search de la Société Blues de Toronto. En janvier 2015, le groupe a été invité à performer au Blues Summit 7, l’incontournable forum canadien de la communauté blues.
Sous étiquette Disco Fairy Records, Out All Night présente 8 compositions dont une instrumentale de Ria Reece et d’André Chevarie(guitare), avec la collaboration à l’écriture de JP Bouffard(claviers), Sylvain Lamothe(basse) et Martin Laporte(batterie) sur Get It et de Sylvain Lamothe sur Anybody Out There?
Les artistes invités sont Guy Bélanger qui met sa note distinctive sur Think I Fell in Love (Again) et A Thing Called Love, Pat Loiselle fait une belle apparition à la slide sur The Dark et J-P Bouffard est aux claviers sur 3 titres. La pochette souligne, par un coloré graffiti, les mauvais coups que l’on peut faire si on passe la nuit dehors. La superbe voix soul de Ria Reece est à l’honneur, tout en douceur et en nuances sur The Dark, Think I Fell in Love (Again) et Anybody? elle prend toute son ampleur sur les magnifiques Vibe et One Foot in The Grave et sur le petit bijou A Thing Called Love où l’harmonica de Guy Bélanger et les claviers donnent des frissons.
Le groupe se dit Rhythm & Blues alternatif et tire ses influences d’Etta James et Marvin Gaye pour ce qui est des classiques et de groupes au son Soul-Rock plus moderne tels que Alabama Shakes et Vintage Trouble.
♪♫♪ reportage album Left With the Blues d’André Bisson disponible maintenant.
Connaissiez-vous André Bisson? Quant à moi j’ai fait une belle découverte à l’écoute du sixième album de ce jeune guitariste habitant Hamilton en Ontario. Depuis 2005, André Bisson a présenté son mélange de R’n’B et Soul en Europe et en Amérique et il a aussi ouvert pour Colin James, Jimmie Vaughan, Robben Ford et Steven Page (Barenaked Ladies).
Avec des influences telles que Motown, la musique big band et gospel, Bisson offre avec Left With the Blues une belle sélection de blues où pas moins de 20 artistes ont participé. Le noyau du groupe est composé d’André Bisson (voix, guitare, piano) Bil Holinaty (sax), Loretta Hale (trompette), Kevin Beeby (basse) et Glenn Paul (batterie). S’ajoutent trombone, violon, contrebasse, trompette et plusieurs voix d’accompagnement. Jerome Godboo ajoute sa dynamique énergie à l’harmonica sur Deepest Kind of Mean.
La belle voix feutrée d’André Bisson s’adapte aussi bien aux ballades qu’aux rythmes plus rapides et la section cuivre est sans contredit un atout majeur dans le son d’ensemble, les rythmes sont accrocheurs, le piano blues et la guitare se démarquent bien, les chœurs féminins tout à fait délicats. Left With the Blues, Play Me a Fool, There for You, Ordinary Day, par leur rythme plus lent, sont magnifiques pour toutes ces raisons, Daybreak fait résonner son rythme funky et Brand New Day nous offre un moment gospel très réussi. 9 des 10 titres ont été composées et arrangées par Bisson, la reprise est Crosscut Saw où l’on peut admirer la sobre maitrise de Bisson à la guitare.
La qualité du son est remarquable et ce riche arrangement d’instruments et voix nous fait passer un magnifique moment.
1. Left With The Blues (3:06)
2. Borrowed Time (3:43)
3. Play Me a Fool (4:17)
4. All I Need (5:09)
5. Deepest Kind of Mean (4:05)
6. There For You (3:49)
7. Daybreak (4:08)
8. Ordinary Day (3:31)
9. Crosscut Saw (2:55)
10. Brand New Day (5:01)
source: Sarah French publicity
♫♪♫ reportage album Moon Turn Red de MonkeyJunk, disponible le 25 sept. 2015.
Tiger in Your Tank, To Behold, All Frequencies, voilà les jalons que les fans de MonkeyJunk reconnaissent bien, chaque nouvel album de ce groupe étant salué par de multiples récompenses et ce, depuis le tout premier, sorti en 2009. Stony Plain publiera le 25 septembre le quatrième album du groupe, Moon Turn Red. Le trio est composé de Steve Marriner (voix, harmonica, claviers, guitare baryton) avec cette guitare qui s’accorde plus bas, Marriner fait office de bassiste, Tony D. est à la guitare et Matt Sobb à la batterie. En plus de quelques invités aux harmonies vocales, 2 musiciens s’ajoutent à l’orgue Hammond: Gordie Johnson sur Love Attack et Steve O’Connor sur Meet me at Midnight. Sur les 10 titres, 9 sont des compositions de MonkeyJunk et le prestigieux David Wilcox est à la voix et guitare pour la reprise de sa chanson Hot Hot Papa.
Steve Marriner explique qu’à chaque enregistrement, ils ont le sentiment de repousser de nouvelles frontières, ils ont exploré des « grooves » où ils n’étaient jamais allés auparavant et expérimenté de nouveaux sons tout en portant une attention particulière à la signature mélodique des chansons. La recette prend très bien, au fil des écoutes, les airs nous séduisent. Plusieurs tentent de cerner le style MonkeyJunk, le groupe définit sa musique comme Swamp Roots Rock. L’ensemble présente un son cru, original, plein de surprises. L’album débute avec la signature des 3 musiciens, quelques notes brûlantes lancées à la guitare, la batterie et l’harmonica embarquent ensuite sur Light It Up, plutôt rock et rythmées comme plusieurs titres de l’album. L’excellente Love Attack est teintée de reggae alors que Learn To Love et Meet Me at Midnight sont des ballades sensibles.
Vous ne serez pas dépaysé par cet album de MonkeyJunk, il s’inscrit magnifiquement dans la suite des choses, vous y retrouverez ce qu’on aime de ce groupe, toute la fougue de leur style et l’originalité des compositions ainsi que la superbe voix de Steve Marriner.
- 1 Light It Up
- 2 You
- 3 Show Me Yours
- 4 Hot Hot Papa
- 5 Love Attack
- 6 Live Another Day
- 7 Learn How to Love
- 8 Lucky One
- 9 Travelin’ Light
- 10 Meet Me at Midnight
source Sarah French publicity
♫♪♫ Reportage album Vicksburg Call de David Gogo disponible maintenant.
Préparez vos lombaires et vos cervicales, Vickburg Call va vous faire bouger, c’est assuré! David Gogo, avec ce 14ème album, nous assène son blues rock avec un punch irrésistible. Sa voix superbe et sa guitare enflammée sont à l’honneur dans les 6 pièces originales et 4 interprétations que comporte cet album sorti le 4 septembre. L’album a été enregistré live en studio dans une atmosphère intimiste avec Jay Stevens (basse, piano et voix) et Bill Hicks (batterie et percussions), Marisha Devoin (basse acoustique), Rick Hopkins (orgue Hammond). S’ajoutent 2 musiciens invités, le guitariste Kim Simmonds (Savoy Brown) sur Fooling Myself au rythme percutant et l’harmoniciste Shawn Hall (The Harpoonist and the Axe Murderer) remarquable sur la reprise de There’s a Hole (Victor Anthony) très belle chanson de style folk.
Les autres versions sont The Loner de Neil Young arrangée à la Gogo de manière énergique, Jet Set (Sigh) de Stephen Stills, intense à souhaits et Why, une ballade d’Annie Lennox qui termine l’album. Cuts Me To The Bones, la chanson d’ouverture donne le ton avec une énergique pièce inspirée des groupes britanniques, What’s Not To Like est tout aussi lourde dans le bon sens du beat, Vicksburg Call, la chanson titre est dans le thème de l’album, qui parle d’amour, de rupture et de réconciliation, de perte d’êtres chers mais aussi d’espoir et de résilience. Quant à Coulda Shoulda Woulda, c’est un rock ‘n’ roll dans le plus pure tradition, un petit bijou.
David Gogo considère cet album comme son meilleur en carrière, je ne connais pas tous ses albums mais j’ai un gros coup de coeur pour celui-ci, c’est un réel plaisir de mettre un cd dans le lecteur et de tomber en amour avec la majorité des chansons.
Amateurs de vinyles, notez que cet album sera aussi pressé en plastic noir…
1. Cuts Me To The Bone (3:19)
2. Fooling Myself (4:12)
3. The Loner (3:55)
4. There’s A Hole (3:26)
5. Jet Set (Sigh) (4:16)
6. What’s Not To Like? (3:01)
7. Our Last Goodbye (6:21)
8. Vicksburg Call (5:06)
9. Coulda Shoulda Woulda (2:37)
10. Why (5:29)
source: Six media marketing
♪♫♪ reportage album « Basement Confessions » de Whisky Legs, disponible le 18 septembre 2015.
Basement Confessions, premier album de Whisky Legs est à nos portes, sa sortie est prévue pour le 18 septembre prochain. Quelle belle somme de talents comporte ce trio de jeunes musiciens qui compose le coeur du groupe: Maude Brochu à la voix et piano, Pascal Denis, batterie, percussions, voix et guitares, et Guillaume Méthot, guitares et voix d’accompagnement. Les musiciens qui se joignent à l’album sont Louis Fernandez à la basse, Laura Doyon au saxophone et Vincent Bouchard à la contrebasse. Simon Lachance et Martin Plante sont aux voix d’accompagnement. Toute la musique est de Whisky Legs, les paroles sont de Maude Brochu avec la collaboration de Aurian Haller, Vann Delorey et Ross Neilsen.
« Formé en 2013, Whisky Legs puise ses influences autant dans la musique des années 1960 et 1970 que chez Alabama Shakes, Amy Winehouse, The Black Keys, Gary Clark Jr. et Tedeschi Trucks Band. Réalisé par le groupe, Basement Confessions est un fidèle portrait des protagonistes de cette aventure qui a débuté en 2012, à travers les travaux de rénovation de la maison de Miss Legs. Suite à la sortie de son EP Have A Shot en 2014, Whisky Legs a reçu le prix « Coup de coeur » du ROSEQ 2014, le prix « Groupe Révélation » au Lys Blues 2015 ainsi qu’une 2e place au Toronto Blues Society Talent Search 2015. » (Source : BROS )
Franchement, je suis ressortie de la première de mes nombreuses écoutes un peu hypnotisée avec des frissons sur les bras tellement j’ai été séduite par la voix envoutante de Maude, les arrangements voix et musique, les rythmes touchants de certains titres, l’originalité et l’énergie dégagée par l’ensemble. Commençons par la fin, j’adore Come Along avec son rythme lent, son message rassembleur et ses choeurs mâles. Too Late, qui était plutôt acoustique sur le EP Have a Shot, s’est vue doublée en durée pour un résultat magnifique avec sa montée dramatique dans la musique et les voix. Les énergiques You Are, Needy Woman, Gotta Say, Hit the Ground Running débordent de groove. Too Close to the Sun offre un superbe duo de voix avec Maude et Pascal Denis, la sidérale So Far Away met encore plus la voix de Maude en valeur, tout comme This Thing, Carry On et Come Along. La guitare est bien présente, électrique, acoustique et souvent un beau mélange des deux, et les percussions sont remarquables.
Pour les amateurs de Québec qui suivent ces artistes depuis leurs débuts et qui ont vu la formation Whisky Legs évoluer jusqu’au résultat présent, et pour ceux qui ont eu le plaisir de les découvrir dans leurs tournées et leurs présences aux festivals majeurs de la province, Basement Confessions est le complément parfait pour poursuivre le plaisir. Pour ceux qui ne connaissent pas encore Whisky Legs, il ne vous reste que quelques jours à attendre pour faire une découverte majeure. La sortie de l’album aura lieu le 18 septembre.
○ Album Poor Lazarus de Sugar Brown, sortie le 4 septembre 2015.

La chanson titre, Poor Lazarus de Frankie Lee Sims, cousin de Lightnin’ Hopkins, est une chanson folk datant de 1911 qui parle de la vengeance d’un shérif envers un noir que Sugar Brown a découverte 2 mois après les événements de Ferguson au Missouri. Événements qui ont remis d’actualité la difficulté qu’ont les citoyens américains à vivre ensemble. C’est dans la foulée de ces événements dramatiques que l’album Poor Lazarue a pris naissance. Le cd comporte aussi 6 compositions de Kawashima.
Comme le premier, cet album est dédié au blues des origines, avec le souci de lui en garder le son et la musicalité, il a été enregistré « live off the floor » au studio Duke of Erb, tout analogique et sur ruban. Bharath Rajakumar apporte sa couleur à l’harmonica sur plusieurs titres, Art Marky est à la batterie et Joolyah Narveson à la guitare rythmique pour la plupart des chansons alors que quelques artistes invités s’ajoutent aux voix d’accompagnement et aux percussions.
Un album qui plaira sûrement à ceux qui aiment le soucis de l’authenticité dans le son des pionniers du blues.
source Sarah French Publicity
♪♫♪ Reportage album Circus de Jim Zeller, disponible le 11 septembre 2015.
À 16 ans à peine, Jim Zeller part sillonner l’Amérique sur le pouce avec son harmonica. En 1973, il passe une audition pour un groupe de Détroit, c’est à ce moment qu’il rencontre Jean Millaire son futur acolyte musical et se taille une place dans le circuit officiel, faisant notamment la première partie de Muddy Waters. Sa rencontre avec Alan Gerber donnera un coup de barre à sa carrière, la performance du duo rappelant le style de Jerry Lee Lewis, ils acquièrent vite une aura de légende sur la scène blues rock incluant une participation à un spectacle que donne Bob Dylan à Québec.
En résumé, Zeller a une vie tumultueuse et une carrière riche en rebondissements, il a beaucoup fait parler de lui sur la scène artistique new-yorkaise, il a flirté avec la drogue, la prison, le punk, il a créée un nouveau genre musical, le psychobilly. De retour au Canada, il forme un groupe avec le guitariste Joe Jammer, originaire de Chicago, et fait littéralement exploser la scène musicale montréalaise.
Avec 31 participations au festival de Jazz de Montréal, 2 nominations au Maple Blues Awards pour l’ensemble de sa carrière, d’innombrables collaborations avec des artistes tels que Frank Marino, Nanette Workman, Robert Charlebois, et ayant peaufiné sa technique auprès des Willie Dixon, John Lee Hooker, B.B. King et Buddy Guy, Jim Zeller nous présente son 4ème album, Circus, que des titres originaux, composés par Zeller et Frédéric Laliberté pour la plupart. Le virtuose harmoniciste demeure bien ancré dans le blues tout en se promenant du Southern Rock au Rock pur en passant par le Pop avec une touche de bluegrass. Un beau mélange de rythmes d’où ressortent des mélodies accrocheuses.
Accompagné de plusieurs artistes invités, Jim Zeller nous offre un album de qualité, avec un grand souci du détail. Un livret à mon goût accompagne l’album, comprenant toutes les paroles des chansons et leur auteur. Les musiciens réguliers sont Jean Millaire (producteur de l’album) et Freddy Freedom à la guitare, Marc Deschênes à la basse, David Devine et Stephen Beaudin à la batterie. Plusieurs autres s’ajoutent pour enrichir la trame sonore, piano, sax, percussions, guitare slide etc. Les voix féminines sont très agréablement présentes, Andrée Dupré dans Bad Girl et Angel Forrest dans la superbe Midnight Train ainsi que Melody Zeller dans Halloween in Hollywood with Johnny Depp.
Un excellent album avec de beaux rythmes qu’on a envie d’écouter à plein volume et où on imagine notre Jim national sur scène, a jouer ses solos à l’harmonica tout en ajustant ses contrôles. La dernière fois que je l’ai vu en spectacle, je lui ai demandé, avant qu’il monte sur scène, s’il était prêt, il m’a répondu « Je suis prêt depuis ma naissance ». Cette intensité et cette authenticité qu’il arbore sur scène se reflètent dans Circus.
1. Down To The River
2. Wild Life
3. Bad Girl
4. Ain’t So Bad
5. Hallowe’en in Hollywood with Johnny Depp
6. One Step Closer to Vegas
7. This Time
8. Sweet Nanoo
9. Midnight Train
10. Soul of the Moon
https://www.facebook.com/pages/Jim-Zeller/
source Six Media Marketting
○ Nouvel album, Been Around a While, Dalannah and Owen, disponible maintenant.
À l’aube de ses 70 ans, Dalannah Gail Bowen publie Been Around a While, en duo avec le bassiste Owen Owen Owen. Chaque membre du duo compte 40 ans d’expérience, Alannah a sorti Them Menz en 2012. Owen a été bassiste pour tout le who’s who de Vancouver. Le duo s’est rendu en finale de l’International Blues Challenge de Memphis de cette année, une première pour une groupe de Colombie Brittanique.
Avec la seule basse comme accompagnement, la voix de Bowen, chaude et feutrée se retrouve presque a capella ce qui donne une oeuvre très dépouillée même dans les classiques du blues librement adaptés tels que Queen Bee de Big Mama Thornton, Why I Sing the Blues de B.B. King, Come On In My Kitchen de Robert Johnson ou Walkin’ Blues de Son House. 5 des 11 titres sont des compositions de Dalannah et de Owen Veber.
source Sarah French Publicity.
https://www.facebook.com/dalannahandowenmusic/info?tab=page_info
http://www.dalannahandowen.com/
1. Been Around A While (3:06)
2. Early In The Morning (3:33)
3. That Ain’t It (2:50)
4. Blues Mother Of Sin (3:37)
5. Already Gone (3:23)
6. Queen Bee (4:13)
7. Inner City Blues (4:19)
8. Heaven’s Right Here (3:28)
9. Come On In My Kitchen (5:23)
10. Why I Sing The Blues (4:00)
11. Walkin’ Blues (3:26)
♪♫♪ Album A Grand New Brew, Ben Racine Band, disponible maintenant.
Alors que One Of a Kind dégageait une énergie brute, « A Grand New Brew », le deuxième album du Ben Racine Band nous arrive tout en finesse dans les rythmes, les atmosphères et la chimie musicale de l’ensemble. La voix de Ben Racine qui fait montre d’une grande sensibilité enrobe le tout, accompagnée de sa guitare crue et aguichante. Little Frankie Tiffault et Moose Mousseau sont aux sax, Nicky Estor est à la batterie, François Dubé à la basse et Charles Trudel au piano et à l’orgue.
L’album comprend 13 titres dont 12 sont des compositions de Ben Racine, la reprise est « Darkness » de Tab Benoit. Produit par le groupe, il a été enregistré au studio de Frankie Tiffault « The Burrow » et mixé, comme le premier album, au Liquid Toronto, par Alec Fraser producteur et musicien reconnu dans le milieu du blues canadien. L’élégante pochette est une conception de Kevin Mark. Ben Racine dit s’être amusé à visiter certains recoins, côté écriture et arrangements. Outre les chansons clairement blues, il a cédé à la tentation d’écrire ce qu’il avait envie d’entendre le band jouer, peu importe le style. Un peu plus de soul et de folk, un peu de swing et de guitare sale. Son association avec Dawn Tyler Watson dans les spectacles est soulignée de belle manière par Let It All Hang Out, une ballade en duo avec le guitariste.
Le Ben Racine Band prend une belle maturité avec cet album qui s’écoute avec plaisir d’un bout à l’autre sans cassure dans l’ambiance tout en ayant des rythmes diversifiés, allant des ballades comme la charmante Can’t Wait to See You Again aux slows tels que Darkness et Walk On. Plusieurs pièces dansantes sont aussi de la liste avec leurs rythmes accrocheurs qui nous restent longtemps dans l’oreille La musique est excellente, les sax et les claviers sont bien en évidence tout comme la guitare, le rythme est solidement soutenu par la basse et la batterie. L’ensemble est très réussi.
♪♫♪ Nouvel album Jon Knight and Soulstack, sortie le 18 juin 2015.
- Promo Photo – credit Stefan Myles – fandyphotography.ca –
- Promo Photo 2 – credit Stefan Myles – fandyphotography.ca –

Le résultat est excellent, enregistré en temps réel au studio Canterbury Music Company de Toronto, et nous donne un album de 10 chansons dans les styles funk, soul, roots, blues, un beau mélange dynamique, vivant, contemporain, des compositions de Mark Wessenger et de Jon Knight. Le seul élément ajouté en post production a été la section back vocals, tout à fait réussie aussi. Cet album offre à l’oreille la belle voix de Knight, l’omniprésence des claviers éblouissants de Mark Wessenger (Voix/Piano/Orgue) et de l’artiste invité Matt Weidinger (Piano/orgue/Wurlitze/Clavinet), la rythmique sans faille à la batterie de Tom Bona, gagnant de 6 Maple Blues, la guitare accrocheuse de Chris Latta(guitares et baritone) et la basse de Darryl “Harpo” Peterson.
Le groupe a fait partie de la programmation du festival de blues de Donnacona en 2014 et leur performance à la maison de la Culture a fait l’objet d’une captation télé par Telus et diffusée partout au Canada.
Aussi à l’aise acoustique qu’électrique, les Soulstack sortiront plus tard cette été un DVD/Blueray « Live acoustic » en plus de leur tournée de promotion pour Soulstack.
♪♫♪ Nouvel album, Cheryl Lescom & the Tucson Choir Boys, « 1953 » sortie le 16 juin 2015.
Une autre belle découverte, avec une carrière longue de plus de 35 ans, des tournées et des performances avec les Long John Baldry, Jeff Healey, Matt Minglewood, Dutch Mason, Downchild pour ne nommer que ceux-là, Cheryl Lescom lance « 1953 », son cinquième album, sous étiquette Busted Flat Records.
La chanteuse a une superbe voix chaude avec laquelle elle fait ce qu’elle veut, avec juste assez de rauque pour séduire tout amateur de blues. 9 des 11 chansons sont des compositions de la chanteuse en collaboration avec Ray Walsh. Surrender et Places I’ve Been sont écrites par la chanteuse interprète Lynn Jackson.
Particularité attrayante, les voix d’accompagnement sont masculines. À l’origine un duo ayant sa propre carrière, The Tuscon Boys Choir, Dave the Cat (voix et guitare acoustique lead) and Sameday Ray (voix et guitare acoustique) se sont joints à Lescom en 2008. En 2010, Les Graham (basse acoustique et voix) and Kristine KK Walsh (planche à laver et percussions) se sont aussi joints aux Tucson Choir Boys ainsi que Robert Reid guitariste acoustique de Kitchener. Affectueusement appelée Tucson Choir Boys Orchestra, c’est ce groupe de musiciens qui accompagne Cheryl Lescom sur 1953. S’ajoutent Jim Boudreau à la batterie, Steve O’Connor aux claviers et Michael J. Torbay aux voix d’accompagnement.
« Ces chansons s’inspirent de mes 62 ans sur cette planète. Les hommes, les femmes, la vie…de mon point de vue » dit la chanteuse « J’y suis depuis longtemps mais je n’en ai pas terminé, ne m’effacez pas sous prétexte que je suis vieille » ajoute-elle.
Le tout donne un album chaleureux où les voix mâles se font veloutées, aux airs parfois rock and roll, aux ballades agrémentées de quelques notes country, et des titres où la chanteuse, reconnue comme une des plus belles voix de blues et roots au Canada, nous offre de belles envolées.
source Sarah French Publicity
étiquette http://www.bustedflatrecords.com/artists/cheryl-lescom/