Premier extrait de « Needle In A Haystack » de They Call Me Rico.
Slide nerveux sur la six cordes, talon de botte usé à trop cogner le sol pour marquer le tempo : Rico est un One Man Band. Un homme seul contre tous. Sur ce modèle, il a rempli la moitié du barillet musical de Sweet Exile, son nouvel album dont la sortie est prévue pour le 5 octobre prochain. Pour l’autre, il a rallié à sa cause 3 pistoleros. Ensemble, ils sont Rico & The Escape. Quatre hommes à l’ambition décuplée, battant les flancs de leurs montures pour porter sur scène leur arsenal rutilant, la queue du crotale sifflant entre leurs bottes.
Le groovy premier extrait Needle in A Haystack est un parfait avant-goût de ce Sweet Exile qui paraitra le 12 octobre sur l’étiquette Voxtone. Frappes insistantes, guitares bien sales et harmonies vocales survolant le tout comme le vent du désert…
En pleine tournée européenne pendant laquelle notre hombre était en première partie de Jack White le 8 juillet à Lyon au Théâtre Romain de Fourvière, They Call Me Rico fera un saut au Québec pour présenter les chansons de Sweet Exile à Trois-Rivières le 29 juin au Festivoix, le 2 juillet en concert extérieur gratuit au Festival International de Jazz (où il sera accompagné de ses comparses Lyonnais Josselin Soutrenon, Charlie Glad et Jean Joly), le 9 août à Donnaconna et le 11 août à Gaspé.
Avec les chansons de ses précédents albums, Frédéric Pellerin alias THEY CALL ME RICO a roulé sa bosse ici comme outre-mer. Il s’est produit plus de 500 fois au Canada et en Europe, tenant l’affiche lors de nombreux événements majeurs comme le Festival international de jazz de Montréal, le Cognac Blues Passion ou Jazz à Vienne en France. Il a aussi fait un saut aux États-Unis, à l’International Blues Challenge de Memphis.