♦ CKRL décerne le prix Jean-Louis Dubé 2012 à Michel Dubois.
♦ Steve Hill solo au Grand-Théâtre de Québec le 22 déc. 2012.
http://www.grandtheatre.qc.ca/spectacles/steve-hill-1544.html?date=2012-12-22
♦ Bob Walsh au Grand-Théâtre de Québec le 8 déc. 2012.
http://www.grandtheatre.qc.ca/spectacles/bob-walsh-1487.html?date=2012-12-08
♦ Votez pour votre groupe préféré au concours Band de Garage de Belle et Bum jusqu’au 17 janvier 2013.
La première ronde est terminée, Mood Session est arrivé en première place des 10 finalistes sur plus de 80 groupes. Les finalistes mettront sous peu de nouvelles prestations ouvertes aux votes jusqu’au 2 mars pour déterminer le grand vainqueur.
9 mars 2013 à 22h30
Dévoilement du nom du groupe gagnant lors de l’émission Belle et Bum.
16 mars 2013 à 21h
Prestation en direct du groupe gagnant à l’émission Belle et Bum.
Vous pouvez aller voter tous les jour pour votre groupe préféré au concours Band de Garage de Belle et Bum.
http://banddegarage.telequebec.tv/ cliquez sur l’onglet « visionnez et votez » pour voir les groupes en lice.
♦ Jam rock alternatif 1990 et + à la Route du Blues le 30 nov. 2012
Venez jammer ou assister à cette soirée qui explorera le rock des années 90 jusqu’à nos jours avec des interprétations de Nirvana, Stone temple pilots, Green day, Oasis, White stripes, Our lady peace et Godsmack. Nat Rochette (batterie), David Cloutier (guitare et voix) et Yves Cloutier (basse) animeront cette soirée. Quelques nouveaux participants se sont manifestés pour avoir un jam avec du rock … plus récents alors profitez en!!! Plus de détails au http://www.laroutedublues.com/event/jam-rock-alternatif-1990-et/
♦ Claire Thériault et ses amis du blues au pub Limoilou le 8 déc. 2012
Spectacle avec:
Claire Thériault , clavier,
Louise Valiquet, voix,
Pat Loiselle, guitare, voix, harmonica,
Régis Beaulieu , basse,
Luc Tremblay, batterie.
Un répertoire blues qui devrait plaire aux amoureux et connaisseurs
du blues !
♦ Aujourd’hui le Blues 26 nov. 2012 à CKIA 88,3
Aujourd’hui le Blues – Lundi/Monday (20h à 22h) – (8:00 to 10:00pm)
en direct http://www.ckiafm.org/ – http://stream.megaquebec.net/ckia.asx
article complet: https://www.facebook.com/
Set 1.
Canadian Ace -The Planet D. Nonet – Blowin’ Away The Blues – East Lawn Records
Bluelight Boogie -The Planet D. Nonet – Blowin’ Away The Blues – East Lawn Records
The Hardway -The Planet D. Nonet – Blowin’ Away The Blues – East Lawn Records
She’s The No-Sleepin’edt Woman -The Planet D. Nonet – Blowin’ Away The Blues – East Lawn Records
Send Out For A Bucket Of Beer – The Powder Blues – Blues + Jazz = Blazz! (Cdn)
Look, But Don’t Touch – Mr. Nick & The Dirty Tricks – Oh Wow – Vizztone
Shake A Tail Feather – Mike Goudreau & The Boppin Blues Band – 20 Years Of Bop & Blues (Cdn)
I’ll Be Right On Down – Lloyd Jones – Doin What It Takes – Fresh
Bad Man – Linsey Alexander – Been There Done That – Delmark
Sweet Little Girl – James Buddy Rogers – My Guitar’s My Only Friend – Blue Wave Records (Cdn)
Speechless – Oli Brown – Heads I Win Tails You Loose – self
I Still Got the Message – Teresa James & The Rhythm Tramps – Come On Home – Jesi-Lu Records
There It Is – Janiva Magness – Stronger For It – Alligator
Waiting On The World To End – Dave Widow And The Line Up – Dave Widow And The Line Up (self)
Set 2.
Super Cooker – Enrico Crivellaro – Freewheelin’ – Electro-Fi (Cdn)
Desperate Times – Clayton Doley – Desperate Times – self
Presence Of The Lord – Gov’t Mule – The Georgia Bootleg Sampler (Live)
Darlin Be Home Soon – Tedeschi Trucks Band – Everybody’s Talkin (Live)
BayouCountry – Ian Siegal & TMN – Candy Store Kid – Nugene Records
Left My Heart In Memphis – Royal Southern Brotherhood – Ruf Records
Lights Of America – Mighty Mo Rogers – Cadillac Jack – Tin Drum Music
So Long I’m Gone – JW-Jones – Seventh Hour – Solid Blues Records (Cdn)
My Mama Wears Combat Boots – Liz Mandeville – Clarksdale – Blue Kitty Music
Good Outweighs Bad – Jeff Strahan – Blues ‘Till I Die – Squaw Peaks Records
Back Up Plan – Tommy Castro – Hard Believer – Alligator
No End To The Blues – James Nixon – The Champions Of R&B
♦ Reportage Rockabilly Rules au Petit Impérial le 23 nov. 2012.
Merci à Sourisyé Louis pour ses photos.
Autant j’ai aimé Matt Andersen en solo, qui habitait la scène de toute sa personnalité, autant j’ai apprécié la visite de Rockabilly Rules qui, dans un tout autre registre, est venu nous offrir son exubérance dans une rafale de rock’n’roll entrainant, le 23 novembre au Petit Impérial. La salle s’est remplie à pleine capacité de danseurs qui, eux aussi, ont fait de cette soirée une réussite et, vraiment, ils sont fascinants à voir évoluer.
Steve Paradis, le talentueux guitariste chanteur du trio, armé d’une superbe Gretsch verte tiger flamed, nous a entrainés dans un tourbillon de bons beats dans la plus pure tradition rockabilly. Nous avons reconnu Johnny Cash avec Folsom Prison Blues, les Stray Cats avec 18 Miles From Memphis, Stray Cat Strut et Drive Like Lightning, Crash Like Thunder, ces deux dernières que le band nous a fait chanter et où nous avons embarqué à fond, les Heartbreak Hotel, That’s Allright Mama, Hound Dog d’Elvis et une foule d’autres morceaux au même rythme dansant. Je suis sûre qu’à la lecture de ces titres, tout le monde qui les a connus un jour ou l’autre a le goût de les réentendre. Franchement, je réalise que j’apprécie de plus en plus me faire offrir ces bons rock’n’roll classiques, ce que Rockabilly Rules fait à merveille.
Jean-Yves Leroux est à la batterie et c’est la première fois que je voyais un batteur jouer debout. Lui-même ne le faisait pas avant de se joindre au groupe 8 mois après sa création il y a 4 ans, mais, pour donner plus de punch et d’authenticité au trio, il a adopté cette manière de jouer. La grosse caisse est cylindrique et la pédale est placée dessous. Le musicien et son instrument étaient tout au bord de la scène, comme le guitariste et le bassiste ce qui nous a permis d’apprécier son jeu.
Parlant du bassiste, nous avons connu une bombe d’énergie en la personne de Carl Upright. Juste pour vous dire, il avait sur scène deux contrebasses au cas où son jeu énergique l’obligerait à en changer rapidement suite à un bris ou à une corde cassée. Et ici, « jeu énergique » est un euphémisme, Carl nous a montré toutes (bien que je soupçonne qu’il lui en reste à inventer) les positions possibles qu’on peut adopter avec une contrebasse, allant de: couché sous elle sur la scène, Steve Paradis debout sur elle, jusqu’à la lancer dans les airs. Comme certains guitaristes, il a même joué avec sa contrebasse juchée sur ses épaules. Même avec une crevasse sur un doigt, qu’il a enduite de colle pour pouvoir poursuivre le spectacle, le jeune musicien n’a pas perdu de son efficacité souriante. Tout le spectacle a été sous le signe de la bonne humeur et des surprises visuelles et auditives. Pour clore cette belle soirée, nous avons eu droit, en rappel, à Grand’Pa and Jack, une compo du groupe.
Merci à Carl Upright pour sa collaboration aux informations.
♦ Playlist Rue D’Auteuil, 23 nov. 2012, CKRL-fm 89.1 Québec
de: Michel Dubois
SPECIAL TEXAS BLUES !!.
Une exception : Steve Strongman, en spectacle ce soir au Pub Limoilou.
À gagner cette semaine: les CD de Alex Rossi et de Clayton Doley .
Cette émission est présentée le vendredi soir de 20h à 22h au 89.1 fm et sur le web à www.ckrl.qc.ca .
Également en podcast (baladodiffusion) disponible sur le site de la station.
Vous pouvez écrire en tout temps à pommenoire@yahoo.ca et appeler durant l’émission au
18-640-1586
Voici la liste des pièces jouées cette semaine: Lire la suite
♦ Jeunes musiciens du monde à l’Impérial de Québec le 23 nov. 2012.
de: L’équipe de Jeunes musiciens du monde
C’est avec plaisir que nous vous invitons à la Soirée-bénéfice Jeunes musiciens du monde 2012 à Québec qui aura lieu le vendredi 23 novembre à l’Impérial de Québec.
Lors de cet évènement, Yann Perreau, qui renouvelle pour une troisième année son rôle de porte-parole, sera accompagné par de nombreux artistes invités alliés à la cause de JMM.
Pour animer la soirée, Isabelle Guilbeault, d’Espace musique, et Patricia Tadros, de la Première Chaîne de Radio-Canada, seront de la partie.
Les Soirées-bénéfice Jeunes musiciens du monde 2012 sont présentées par La Capitale groupe financier, en collaboration avec Optima Santé globale.
Ces évènements constituent la principale source de financement de nos cinq écoles. Votre participation permet à plus de 600 jeunes de s’épanouir grâce à la musique.
Prévente : 35$ Porte : 40$
Billets en vente sur le site sécurisé de Jeunes musiciens du monde : http://bit.ly/PFf6Jc
Tous les détails : http://bit.ly/P3iyfj
Merci pour votre appui!
L’équipe de Jeunes musiciens du monde
♦ Le prof Lauzon fait l’humour au Petit Impérial le 22 vov. 2012
http://imperialdequebec.com/le-petit-imperial/programmation?jour=2012-11-22
♦ concert de Noël de l’Harmonie de St-Augustin le 16 déc. 2012.
http://www.societe-musicale-st-augustin.org/pages/harmonie.php
♦ Rockabilly Rules à 21h le 23 nov. 2012 au Petit Impérial
petit rappel pour l’heure du spectacle de Rockabilly Rules le 23 novembre: il aura lieu à 21h
http://imperialdequebec.com/le-petit-imperial/programmation
les tables et les chaises seront enlevées pour laisser la place aux danseurs.
♦ Joseph Edgar jeudi 22 novembre 2012 au Bal du Lézard.
Jeudi 22 novembre au bal du lézard 1049, 3e Avenue, Limoilou , 21h, gratuit, en spectacle Joseph Edgar
Joseph Edgar nous présente son nouvel album intitulé Interstices, qui paraîtra le 21 février prochain (sortie indépendante). Quatrième album en carrière solo, qu’il poursuit depuis 2003, Interstices s’inscrit dans un son plus rock et moins folk que ce à quoi Edgar nous a habitués avec ses albums précédents: La lune comprendra (2004), Oh ma ma (2006) ainsi que Y’a un train qui s’en vient (2009).
L’influence du réalisateur et musicien Jocelyn «Joe» Gagné (Les Breastfeeders) n’est sans doute pas étrangère à ce changement de cap fort intéressant, où les tambourins et bruits de guitares grinçants sont bien présents, particulièrement dans la pièce Feathers and Tar. Tout au long de l’opus, l’empreinte du réalisateur se fait ressentir pour mener à un résultat final unique. Interstices est également le fruit de collaborations avec Lisa LeBlanc (banjo et voix), lauréate du Festival international de la chanson de Granby en 2010, Geneviève Toupin (piano et voix), finaliste à Granby en 2006 ainsi que les musiciens du groupe The In’n Outs.
À travers les pièces qui composent l’album, Joseph Edgar invite l’auditeur à s’immiscer dans les fissures de sa vie et à plonger à l’intérieur de diverses histoires pour y découvrir le quotidien de l’artiste. Album rempli de contrastes et d’influences diverses, la magnifique poésie d’Edgar retient constamment l’attention et nous transporte dans un univers où le temps s’arrête l’espace d’un moment, d’un interstice…
À PROPOS DE JOSEPH EDGAR
Originaire de Moncton, Joseph Edgar est l’un des fers de lance de la nouvelle scène musicale acadienne. Fondateur du légendaire groupe Zéro Celsius dans lequel il était « leader » dans les années 1990 et 2000, Joseph Edgar est aujourd’hui à maturité après plus de 20 ans de carrière! Son univers, souvent qualifié d’urbain acoustique mais que lui-même qualifie plutôt comme rock-folk, se nourrit de multiples influences acquises au fil du temps.
Artiste passionné qui occupe la scène avec une intensité peu commune, la musique est pour lui un véhicule tout indiqué pour l’écriture. L’évolution musicale d’Edgar se fait une fois de plus sentir à l’écoute de ce quatrième album. En plus de plusieurs spectacles prévus à l’hiver et au printemps 2012 au Canada, il fera une tournée en France, en Suisse, en Belgique et en Allemagne l’été prochain.
Extraits de presse
Joseph Edgar, émotif, viscéral Le matériel de l’ex-leader de Zéro Celsius (…)est traversée par le folk, le folklore, le country, mais aussi par un rock qui peut parfois se montrer abrasif. L’auteur s’exprime en langue familière, sans effort normatif. Ces états d’âme mis en rimes ont pour objet d’exprimer l’identité acadienne telle qu’elle se vit aujourd’hui. Tout y est intelligible, il faut vraiment être de mauvaise foi pour ne pas saisir. Y a un train qui s’en vient est le troisième album du mec en cinq ans, on l’imagine porté par quelque flamme, quelqu’énergie. Ce gars n’est peut-être pas en train de réinventer le son acadien mais il a quelque chose bien à lui. Sa voix un tantinet chevrotante malgré sa puissance, les tripes qu’il étale sur la table, la cohésion de son accompagnement. Voilà autant d’arguments pour s’y intéresser.
Alain Brunet – blogue
Comme à l’habitude, la poésie de Joseph Edgar est bien ancrée à Moncton. Ce sont d’ailleurs des passages comme «Hé man, as-tu entendu, ils l’ont annoncé à la télé aux grosses nouvelles d’à soir», qui font que j’adore ce qu’il écrit. C’est sincère. Le chiac est saupoudré comme une bonne épice. Pas trop. Juste assez. Et c’est beau. Beau comme le mascaret sur la rivière Petitcodiac. Tout ça pour dire que l’évolution musicale de Joseph Edgar est palpable dans cet EP. Le réalisateur a réussi à laisser son empreinte sur les sillons ces tounes. Le son est complet, clair, riche. La voix de Joseph Edgar est plus posée que dans ses trois premiers albums.
Le49 – blogue de musique indépendante
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Source : Bal du lézard, 1049, 3e avenue, Limoilou, 418-529-3829
♦ Reportage Monkey Junk au centre d’art La Chapelle le 17 novembre 2012.
Certains ont découvert Monkey Junk samedi dernier au centre d’art La Chapelle et d’autres, comme moi, l’ont redécouvert avec ravissement. Un spectacle très énergique au son incisif qui a été le qualificatif de la soirée. Marriner utilise des guitares barytone, instrument qui se situe entre la guitare et la guitare basse, ce qui donne une richesse à l’ensemble puisqu’on bénéficie de la présence de deux guitaristes. Pour ajouter à l’intérêt, j’ai trouvé que Marriner a moins utilisé les vocalises à la « West Coast Blues » et que la petite note rauque qu’avait sa voix était très accrocheuse. On en a eu une belle démonstration dans I Can’t Hold Out, un entrainant Chicago Blues qui a eu lieu en fin de spectacle et qui a fait se lever les gens pour danser et chanter le refrain « talk to me baby ».
Tony D., un de nos meilleurs guitaristes canadiens, un de mes préférés, assure sa part avec sa présence tranquille mais criante d’efficacité et de talent. Mon bonheur aurait été complet s’il avait chanté une ou quelques chansons parce que je sais qu’il a une très belle voix lui aussi. Quand à l’excellent Matt Sobb, qui soude le tout à la batterie, au fil des ans, il est soit gagnant aux Maple Blues Award dans la catégorie meilleur batteur, soit en nomination, comme cette année encore.
En ouverture, Six Strings Down écrite par Jimmie Vaughan au décès tragique de son frère Stevie Ray. Une chanson qui devrait être chantée à chaque fin d’année pour commémorer le départ de nos artistes du blues. Nous avons entendu plusieurs chansons des deux cd du groupe, Tiger in Your Tank et To Behold, ce dernier ayant gagné un Juno dans la catégorie meilleur cd blues. What I Got to Give, très belle, est une nouvelle compo qui sera sur le prochain cd. Tiger in Your Tank, Boogie Man, Beefy, la belle instrumentale, Right Now, très énergique, Let Her Down, un magnifique slow, sont des titres qui nous ont été présentés.
Un spectacle toujours intéressant, assaisonné de slide et de solos de chacun des guitaristes, des beats de basse de Marriner, des solos de wah wah de Tony D., chaque guitariste enrichit le son de l’autre. S’ajoute les solos de Marriner à l’harmonica, l’instrument installé dans un manchon de balayeuse, lui-même inséré dans un micro sur pied (truc de sa fabrication, canadienne, nous a mentionné Steve). De plus, j’admire la ténacité de Steve Marriner à s’adresser à nous en français, ce qu’il fait très bien. Il se donne la peine de nous raconter des anecdotes et de nous présenter les chansons en français sans jamais tomber dans la facilité de retourner à sa langue maternelle.
Pour nous présenter le rappel, Steve nous a dit que ce spectacle était le dernier avant le retour à la maison, de la tournée qui a commencé à l’Action de Grâce, et il nous a appris que le band avait eu un accident de la route il y a une semaine et que, bien qu’il n’y ait pas eu de blessés, cet incident leur a fait réaliser à quel point il est réconfortant de revenir à la maison, parmi les personnes qui nous sont chères. Mother’s Crying, triste mais pleine d’espoir a terminé le spectacle puis le trio a rencontré ses admirateurs dans le hall de la Chapelle pour leur dédicacer des cd.