Jim Zeller et Frédéric Laliberté au Pub Limoilou vendredi le 16 avril 2010
Vus à Donnacona l’été dernier, Jim Zeller le mauvais garçon du blues et Frédéric Laliberté, (qui, j’avoue ne donne pas sa place dans le look mauvais garçon), en duo. Surprenant, j’ai été tout à fait séduite par ce spectacle en fin d’après midi. Laliberté a un jeu de guitare très agréable à entendre et à regarder et les deux musiciens ont une belle complicité dans ce spectacle que je voyais pour la première fois.
Ils seront au Pub Limoilou vendredi soir, 22h, entrée 5$.
Vous ne connaissez pas le Pub Limoilou? Petit bar avec ses habitués, place de blues.
L’ami Odd Thomas de Dean Koontz
J’ai eu toute une surprise cette semaine, je parcourais distraitement la liste des livres à paraître dans les prochaines semaines dans le réseau des bibliothèques. J’ai vu que Dean Koontz, mon auteur chouchou a publié L’ami Odd Thomas. D’après le résumé ici c’est une toute nouvelle histoire avec ce charmant Odd, un héros tellement attachant.
Le premier roman avec ce héros était L’étrange Odd Thomas. J’avoue, j’ai braillé comme une Madeleine quand j’ai lu le dernier chapitre, je me suis fait avoir totalement. Pas parce que l’auteur m’a bernée, tout était là, mais voilà, ça m’a frappée en pleine face quand j’ai réalisé…
J’aime pas me faire berner par les auteurs, dernièrement, j’ai écouté un livre-lu, j’aime beaucoup m’envoyer une couple de chapitres en me couchant. Alors j’écoute Guillaume Musso, « Parce que je t’aime », qui, paraît-il a une finale surprenante…et je me rends compte à la fin que c’est une arnaque, qu’on s’est fait embobiner tout au long du roman. Que, finalement, l’histoire n’est pas ce qu’on pensait qu’elle était. Qu’il nous manquait des informations pour connaître le contexte. Déception.
Mais L’étrange Odd Thomas nous donne vraiment tous les indice de la finale, tout est là. Et moi, je ne l’ai pas vue venir. Et, vraiment, j’ai hâte de lire L’ami Odd Thomas.
Mise à Jour:
Bon voilà, je l’ai eu, je l’ai lu…et j’ai été légèrement déçue. Très contente de retrouver le héros et ses idées bien arrêtées sur la vie, la mort, la société et les chandails achetés sur un coup de tête. Contente aussi de me remémorer le premier roman où Odd donne des détails sur sa vie. Mais je n’ai pas retrouvé la violente dichotomie du bien sans failles et du mal absolu que j’aime lire dans les romans de Dean Koontz, ce bien et ce mal saupoudrés de surnaturel. Bien sûr la recette est là, mais pas aussi punchée que d’habitude. J’ai bien aimé la fin où, pendant un moment, l’auteur nous mène en bateau…sur le Styx. J’aurais bien aimé que Odd voit, juste pour un fugutif instant, sa Stormy. Et, je suis restée sur ma faim sur un détail…pourquoi le méchant chat regardait Odd si intensément…
J’ai malgré tout trouvé que ce roman est un bon divertissement et j’attends toujours avec impatience les parutions en français de mon romancier préféré.
Angel Forrest, Come Alive, nouvel album en magasin le 20 avril 2010
ANGEL FORREST
COME ALIVE, NOUVEL ALBUM EN MAGASIN LE 20 AVRIL
Montréal, mars 2010 — Cinq ans après avoir conquis le Canada avec les titres fougueux de Here For You, un premier album de compositions originales en anglais, sa langue maternelle, Angel Forrest revient plus que jamais radieuse avec Come Alive, une réalisation impeccable se déployant quelque part entre folk rock seventies, blues moderne et pop mélodique.
Aux côtés des excellents musiciens que sont Denis Coulombe (guitare acoustique, basse, voix), Rob MacDonald (guitare électrique, dobro, mandoline, banjo), Sly Coulombe (batterie, percussions), Alec Mcelcheran (basse) et Bernard Quessy (orgue Hammond B3, clavier Wurlitzer), complices de longue date avec qui elle partage aussi les planches, la chanteuse a immortalisé en studio 11 pièces originales vibrantes et authentiques. Des chansons lumineuses et amoureuses — I Believe, That’s How I Know — , langoureuses — The Color Blue, Move On, She’s The One —, poignantes — Breakdown, Tell Me Why — , rageuses et sincères — One Way, Courage, Come Alive — , toutes menées par la voix puissante et éraillée d’Angel Forrest.
BIO
Voilà plus de 20 ans qu’Angel Forrest séduit les foules avec sa voix puissante et rauque, son charisme, sa fougue et sa passion. Fascinée par le blues, elle fait paraître en 1996 un premier album d’interprétations, Secondhand Blues, puis plus tard Angel Sings Janis Live, qui fait écho au succès retentissant de son interprétation de la mythique Janis Joplin dans une comédie musicale à grand déploiement. Après avoir tourné en Amérique du Nord et en Europe, elle présente en 2001 un tout premier album de compositions originales, Étrange ce qui dérange, une réalisation de Jean-François Morand à laquelle prennent part des collaborateurs de renom dont Steve Hill et Rick Haworth. Suit Here For You en 2005, sur lequel elle renoue avec sa langue maternelle et qui obtient la faveur du public — l’album est écoulé à quelque 15 000 copies. Cinq ans plus tard, Angel Forrest donne suite à cet excellent disque avec Come Alive, un troisième album mature la révélant en pleine possession de ses moyens.
ANGEL FORREST
COME ALIVE, NOUVEL ALBUM EN MAGASIN LE 20 AVRIL